Snowy36
08.08.2018 22:11:08
- #1
Il ne s'agit pas du tout de tout révéler, mais de rectifier ce qui a déjà été révélé. Quel est l’intérêt de publier un plan de situation qui n’est plus d’actualité, où les soi-disant écarts ne sont pas visibles, à l’exception de la pente du toit, pour laquelle je me demande pourquoi une réduction de la pente de 6° serait bénéfique pour l’accessibilité.
Mais si le voisin a donné son accord à une charge foncière.
Ce qui reste à vérifier. Selon le plan de situation, il a remblayé jusqu’à 2,8 m et veut encore y construire un garage. Cela dépasse probablement le cadre des conditions de privilège.
Les hauteurs figurent bien sur le plan de situation. Qu’il soit vrai que la TE souhaite remblayer 3,6 m (!) au nord demeure non clarifié à cause du plan obsolète, de même que la modification prévue du terrain à la limite de la propriété.
Tu le dis toi-même. Le voisin ne peut plus faire valoir d’opposition après plus de trois mois.
Probablement que la TE a demandé des avenants au permis de construire. Le voisin a été impliqué (muret de soutènement trop haut) et a formulé des objections. D’où aussi le faible effet apaisant des messages qui renvoient aux parties concernées en cas de contestation du permis de construire, à savoir le voisin et le service urbanisme. En passant, l’architecte de la TE a laissé entendre au voisin qu’il ne pourra pas construire son garage s’il n’accepte pas le muret de soutènement de 3,6 m de haut. Et voilà le conflit de voisinage.
Même si tout n’est pas inventé, c’est rempli d’incohérences, à commencer par l’avocat engagé (#1) ou à engager (#60), en passant par le plan illisible et obsolète jusqu’au bungalow accessible aux personnes à mobilité réduite sur un terrain en pente avec plus de 6 m de dénivelé.
Oui, oui, et c’est pour ça que tout est inventé... comme si les gens n’avaient pas d’autres loisirs...