€uro
29.01.2012 23:56:27
- #1
Bonjour,
Les coûts de consommation constituent la deuxième étape. Il faut d’abord déterminer les besoins réels. La consommation dépend de la solution technique choisie.
Un exemple d’énergie de chauffage : Pour un bâtiment KfW EH X, un besoin en énergie de chauffage de 6 000 kWh/an a été déterminé sur la base des caractéristiques de construction (corps de bâtiment, valeurs U, etc.), du site climatique et du comportement des utilisateurs. Cela donnerait les coûts de consommation suivants (pompe à chaleur électricité 0,16 €/kWh ; gaz naturel 0,05 €/kWh) :
Pompe à chaleur air-air (coefficient de performance annuel = 3,5) => 1 714 kWh/an => 275 €/an
Pompe à chaleur géothermique (coefficient de performance annuel = 4,5) => 1 333 kWh/an => 213 €/an
Chaudière gaz à condensation (rendement = 0,85) => 7 059 kWh/an => 353 €/an
Cela permet alors d’évaluer les investissements respectifs.
Plus le besoin est élevé, plus l’installation doit être efficace.
Dans le cas des pompes à chaleur, le coefficient de performance annuel déterminé est très important. Des coefficients élevés ne sont atteignables que si les conditions cadres nécessaires sont présentes et respectées. Cela nécessite un dimensionnement précis, par exemple des charges de chauffage, des surfaces de chauffage, de l’hydraulique, de la régulation, etc.
Il arrive assez fréquemment dans la pratique que des paramètres forfaitaires soient utilisés dans les preuves (ajustement favorable), mais que cela ne se retrouve malheureusement plus dans la mise en œuvre pratique. Résultat : mauvaise (faible) coefficient de performance annuel => coûts de consommation plus élevés. Dans plusieurs cas, le facteur d’effort admissible de l’installation est largement dépassé et le statut d’efficacité visé (acheté) du bâtiment n’est pas atteint. Parfois, les exigences de l’ordonnance sur les économies d’énergie (par exemple, l’énergie primaire) sont même violées. Pour le gaz à condensation, il en va de même pour le rendement.
Depuis 2009, les maîtres d’ouvrage sont mieux protégés grâce à des déclarations professionnelles formulées correctement.
Le statut d’efficacité respectif est déterminé par l’ensemble du bâtiment, y compris la technique d’installation, et non par un seul élément constitutif (ici la paroi extérieure).
Cordialement.
Les deux sont possibles, mais on peut certainement supposer que la seconde option est objective et indépendante de la vente. Dans le premier cas, il faudrait faire vérifier à la fois le calcul et le résultat par un expert neutre.... qui calcule en fait les coûts de consommation ? Je suppose que c’est l’assureur BU, mais celui-ci ne pourrait-il pas, en fin de compte, ajuster les chiffres à son avantage ? Ne serait-il pas judicieux de les faire vérifier par un expert indépendant ?
Les coûts de consommation constituent la deuxième étape. Il faut d’abord déterminer les besoins réels. La consommation dépend de la solution technique choisie.
Un exemple d’énergie de chauffage : Pour un bâtiment KfW EH X, un besoin en énergie de chauffage de 6 000 kWh/an a été déterminé sur la base des caractéristiques de construction (corps de bâtiment, valeurs U, etc.), du site climatique et du comportement des utilisateurs. Cela donnerait les coûts de consommation suivants (pompe à chaleur électricité 0,16 €/kWh ; gaz naturel 0,05 €/kWh) :
Pompe à chaleur air-air (coefficient de performance annuel = 3,5) => 1 714 kWh/an => 275 €/an
Pompe à chaleur géothermique (coefficient de performance annuel = 4,5) => 1 333 kWh/an => 213 €/an
Chaudière gaz à condensation (rendement = 0,85) => 7 059 kWh/an => 353 €/an
Cela permet alors d’évaluer les investissements respectifs.
Plus le besoin est élevé, plus l’installation doit être efficace.
Dans le cas des pompes à chaleur, le coefficient de performance annuel déterminé est très important. Des coefficients élevés ne sont atteignables que si les conditions cadres nécessaires sont présentes et respectées. Cela nécessite un dimensionnement précis, par exemple des charges de chauffage, des surfaces de chauffage, de l’hydraulique, de la régulation, etc.
Il arrive assez fréquemment dans la pratique que des paramètres forfaitaires soient utilisés dans les preuves (ajustement favorable), mais que cela ne se retrouve malheureusement plus dans la mise en œuvre pratique. Résultat : mauvaise (faible) coefficient de performance annuel => coûts de consommation plus élevés. Dans plusieurs cas, le facteur d’effort admissible de l’installation est largement dépassé et le statut d’efficacité visé (acheté) du bâtiment n’est pas atteint. Parfois, les exigences de l’ordonnance sur les économies d’énergie (par exemple, l’énergie primaire) sont même violées. Pour le gaz à condensation, il en va de même pour le rendement.
Depuis 2009, les maîtres d’ouvrage sont mieux protégés grâce à des déclarations professionnelles formulées correctement.
Voir ci-dessus !...Quelles grandeurs caractéristiques de la maison ou informations de base sont prises en compte pour les coûts de consommation ?
...Brève question sur la kfw : Ai-je bien compris qu’aucune brique normale (Poroton, Liapor, etc.) sans isolation supplémentaire ne peut satisfaire l’exigence kfw-70 ?
Le statut d’efficacité respectif est déterminé par l’ensemble du bâtiment, y compris la technique d’installation, et non par un seul élément constitutif (ici la paroi extérieure).
Cordialement.