Bautitus
21.06.2019 00:03:42
- #1
Bonjour à tous,
nous sommes en train de planifier notre maison individuelle avec notre architecte et nous devrons nous occuper d’un prêt à la fin de l’année. Les coûts finaux ne sont pas encore fixés, mais cela devrait se situer entre 600.000 et 650.000, selon l’équipement que nous choisirons et si nous réalisons tous les souhaits dès le début ou si nous en repoussons certains. Le problème : nous disposons seulement d’environ 100.000 d’apport personnel, ce qui rend les conditions de prêt tout sauf attractives. J’ai donc l’idée suivante :
sur les 550.000 à financer, environ 40.000 seront financés par un contrat d’épargne-logement prêt à être attribué et 150.000 via KFW avec des conditions relativement avantageuses, puisqu’elles ne dépendent pas de l’apport personnel. Pour le reste, nous choisirions un prêt amortissable simple sans options supplémentaires (remboursement anticipé, modification du taux d’amortissement, etc.) avec un taux fixe de seulement 5 ans, afin d’obtenir un taux d’intérêt aussi attractif que possible. L’objectif serait de rembourser environ 125.000 € durant les 5 premières années, puis de s’occuper ensuite du plan de financement final avec des conditions beaucoup plus avantageuses, car la valeur de nantissement serait beaucoup meilleure dans 5 ans qu’actuellement.
Motivation de cette approche :
Je pense que la probabilité que les taux d’intérêt augmentent fortement durant ces cinq années est très faible. Les banques évaluent souvent la différence entre un taux fixe de 5 ans et de 10 ans à environ 0,1 %, ce qui signifie en fait qu’à leurs yeux, la situation dans cinq ans ne sera pas très différente de celle dans dix ans. La zone euro, avec ses nombreux États endettés au sud, ne peut plus se permettre de relever les taux d’intérêt sans provoquer une nouvelle crise dans ces pays, ce qui fait que les taux connaissent une seule direction depuis de nombreuses années. Et même si, contre toute attente, quelque chose devait évoluer autrement, cela ne se produirait pas du jour au lendemain, mais par petites étapes, très probablement trimestriellement ou semestriellement, ce qui permettrait en cas de besoin de se protéger à temps avec un contrat d’épargne-logement ou un prêt à terme.
Nous avons un revenu relativement élevé, ce qui nous permet de supporter sans problème une mensualité allant jusqu’à 3500. Toutefois, nous ne voulons pas vivre avec de telles mensualités pendant les 15 à 20 prochaines années. En mettant en œuvre avec succès la stratégie mentionnée ci-dessus, nous n’aurions cette charge que durant les cinq premières années et pourrions ensuite nous détendre financièrement de manière relativement confortable.
La planification familiale est par ailleurs déjà terminée et nous avons tous les deux des emplois très sûrs et permanents.
Qu’en pensez-vous de cette approche ?
nous sommes en train de planifier notre maison individuelle avec notre architecte et nous devrons nous occuper d’un prêt à la fin de l’année. Les coûts finaux ne sont pas encore fixés, mais cela devrait se situer entre 600.000 et 650.000, selon l’équipement que nous choisirons et si nous réalisons tous les souhaits dès le début ou si nous en repoussons certains. Le problème : nous disposons seulement d’environ 100.000 d’apport personnel, ce qui rend les conditions de prêt tout sauf attractives. J’ai donc l’idée suivante :
sur les 550.000 à financer, environ 40.000 seront financés par un contrat d’épargne-logement prêt à être attribué et 150.000 via KFW avec des conditions relativement avantageuses, puisqu’elles ne dépendent pas de l’apport personnel. Pour le reste, nous choisirions un prêt amortissable simple sans options supplémentaires (remboursement anticipé, modification du taux d’amortissement, etc.) avec un taux fixe de seulement 5 ans, afin d’obtenir un taux d’intérêt aussi attractif que possible. L’objectif serait de rembourser environ 125.000 € durant les 5 premières années, puis de s’occuper ensuite du plan de financement final avec des conditions beaucoup plus avantageuses, car la valeur de nantissement serait beaucoup meilleure dans 5 ans qu’actuellement.
Motivation de cette approche :
Je pense que la probabilité que les taux d’intérêt augmentent fortement durant ces cinq années est très faible. Les banques évaluent souvent la différence entre un taux fixe de 5 ans et de 10 ans à environ 0,1 %, ce qui signifie en fait qu’à leurs yeux, la situation dans cinq ans ne sera pas très différente de celle dans dix ans. La zone euro, avec ses nombreux États endettés au sud, ne peut plus se permettre de relever les taux d’intérêt sans provoquer une nouvelle crise dans ces pays, ce qui fait que les taux connaissent une seule direction depuis de nombreuses années. Et même si, contre toute attente, quelque chose devait évoluer autrement, cela ne se produirait pas du jour au lendemain, mais par petites étapes, très probablement trimestriellement ou semestriellement, ce qui permettrait en cas de besoin de se protéger à temps avec un contrat d’épargne-logement ou un prêt à terme.
Nous avons un revenu relativement élevé, ce qui nous permet de supporter sans problème une mensualité allant jusqu’à 3500. Toutefois, nous ne voulons pas vivre avec de telles mensualités pendant les 15 à 20 prochaines années. En mettant en œuvre avec succès la stratégie mentionnée ci-dessus, nous n’aurions cette charge que durant les cinq premières années et pourrions ensuite nous détendre financièrement de manière relativement confortable.
La planification familiale est par ailleurs déjà terminée et nous avons tous les deux des emplois très sûrs et permanents.
Qu’en pensez-vous de cette approche ?