DG
20.10.2014 11:59:02
- #1
La question du prix de lutte est aussi toujours une question de habileté personnelle à négocier et de situation globale. Lors de notre recherche pour un bien, nous avons essayé de négocier, avons proposé par écrit environ 10 000 € de moins que le prix demandé - on a rapidement eu l’information qu'il y avait deux autres intéressés qui avaient offert plus. Nous avons alors augmenté notre offre au prix demandé et n’avons tout de même pas obtenu le contrat ; tout cela s’est passé très rapidement, il y a donc probablement eu plus d’argent que le prix initialement demandé.
Il est cependant important de se fixer soi-même une limite jusqu’à laquelle on est prêt à acheter le bien et il peut tout à fait arriver qu’un bien représente une valeur plus importante (!) pour d’autres acheteurs et justifie donc un prix d’achat plus élevé - il faut alors savoir se retirer à un moment donné, sinon on se ment à soi-même.
Pour la maison du TE, on peut en principe proposer toutes sortes de choses, cela dépend finalement de la valeur réelle de la maison et de la rapidité/la fiabilité avec laquelle on veut obtenir une décision.
Si la maison et le prix d’achat conviennent, on peut agir rapidement, proposer 300 000 € et attendre de voir ce qui se passe.
Si le bien est correct, mais qu’on pourrait éventuellement trouver un autre bien comparable sans urgence, on peut aussi simplement proposer 250 000 € et attendre de voir ce qui se passe. C’est (pour une valeur objective/marché correspondante du bâtiment de 300 000 € supposée) audacieux et cela peut faire en sorte qu’on ne soit plus du tout pris au sérieux en tant qu’acheteur (la communication avec l’agent immobilier est importante ! Il faut « vendre » cette offre comme première offre et laisser entendre qu’on peut nettement augmenter jusqu’à par exemple 300 000 €, mais qu’on ne le souhaite pas forcément !) - cela peut aussi mener à un accord bien en dessous du prix demandé.
Très important : peu importe ce que dit l’agent immobilier, toujours faire des offres écrites, même si l’agent dit/affirme qu’il n’accepte pas les offres écrites en dessous du prix X. Un chiffre avec une signature dessous montre au vendeur que l’on est sérieux.
Cordialement
Dirk Grafe
Il est cependant important de se fixer soi-même une limite jusqu’à laquelle on est prêt à acheter le bien et il peut tout à fait arriver qu’un bien représente une valeur plus importante (!) pour d’autres acheteurs et justifie donc un prix d’achat plus élevé - il faut alors savoir se retirer à un moment donné, sinon on se ment à soi-même.
Pour la maison du TE, on peut en principe proposer toutes sortes de choses, cela dépend finalement de la valeur réelle de la maison et de la rapidité/la fiabilité avec laquelle on veut obtenir une décision.
Si la maison et le prix d’achat conviennent, on peut agir rapidement, proposer 300 000 € et attendre de voir ce qui se passe.
Si le bien est correct, mais qu’on pourrait éventuellement trouver un autre bien comparable sans urgence, on peut aussi simplement proposer 250 000 € et attendre de voir ce qui se passe. C’est (pour une valeur objective/marché correspondante du bâtiment de 300 000 € supposée) audacieux et cela peut faire en sorte qu’on ne soit plus du tout pris au sérieux en tant qu’acheteur (la communication avec l’agent immobilier est importante ! Il faut « vendre » cette offre comme première offre et laisser entendre qu’on peut nettement augmenter jusqu’à par exemple 300 000 €, mais qu’on ne le souhaite pas forcément !) - cela peut aussi mener à un accord bien en dessous du prix demandé.
Très important : peu importe ce que dit l’agent immobilier, toujours faire des offres écrites, même si l’agent dit/affirme qu’il n’accepte pas les offres écrites en dessous du prix X. Un chiffre avec une signature dessous montre au vendeur que l’on est sérieux.
Cordialement
Dirk Grafe