11ant
14.05.2020 14:48:22
- #1
Construction de maisons multifamiliales
Aïe. Avec un propriétaire trouillard, la seule chose à faire, c’est de se tirer une balle.
Construction de maisons multifamiliales
Il arrive assez souvent qu’il n’y ait pas d’ajustement pendant des années, puis qu’une augmentation correspondante survienne soudainement. J’ai entendu parler d’une vieille dame qui a payé le même loyer pendant des décennies, puis du jour au lendemain a dû payer 300 % de plus (ou quelque chose comme ça).
Mais ce sont sûrement des nouvelles de RTL.
Non, ce n'est pas une fausse information, mais c'est tout à fait normal là où il y a beaucoup de bail emphytéotique. Et c'est justement l'un des grands pièges des terrains en bail emphytéotique. Il faut intégrer l'augmentation dans son budget annuel ou du moins y penser. Certains ont oublié cette clause, et se retrouvent maintenant à la retraite au bord du précipice avec leur maison en bail emphytéotique, car ils ne peuvent plus la supporter économiquement.
C'est encore "mieux" lors du renouvellement nécessaire du droit emphytéotique, quand soudainement 4 % par an sur la valeur actuelle du terrain deviennent la base. L'affaire bon marché devient vite un cauchemar.
Il ne faut pas oublier que le "bail emphytéotique" est un instrument venant de l'Empire allemand - la protection des consommateurs n'y est pas vraiment intégrée. Construire simplement une annexe sur une maison sans l'accord du bailleur emphytéotique peut déjà être compliqué. Pour une construction neuve, cela peut encore être acceptable, mais 60 ans plus tard, ou lors d'une vente due d'un bien existant, la situation est différente - 1919 + 99 - le sujet commence juste à émerger.
Tu as complètement tort.
Tu subis un dommage de 0 ! (sauf un déménagement - mais pour une nouvelle maison)
Les deux types de terrains présentent absolument le même risque. Il n’y a aucune différence.
Tu te mets des bâtons dans les roues, toi-même, avec un éventuel souhait de maison. Tous les candidats à la construction pèsent le pour et le contre……
C’est donc apparemment ton avis, car rien que le fait qu’il soit possible qu’une expropriation ait lieu ne réduit pas à zéro la probabilité pour moi.
Déménager n’est pas facile, surtout quand on pense que le terrain acquis, avec plus de 100 000 questions préalables (Matthew a déjà été utile pour sa réalisation), devrait en fait être la destination finale.
Dans le cas d’un droit de superficie, n’est-il pas typique que la maison puisse rester sur le terrain environ 100 ans et que le propriétaire du terrain ait alors le droit d’acheter la maison ? (laisse-moi deviner, si la réponse est oui, est-ce que je reçois alors la « valeur vénale » ?)
Comment sais-tu que je me mets des bâtons dans les roues avec des réflexions (de quelque nature que ce soit), alors que ces réflexions concernent l’acquisition d’un terrain ?