J’ai aussi un module qui, à condition que la continuation du financement achevé se fasse sans aucune modification, ne sera remboursé que lorsque j’aurai 78 ans. Je ne trouve pas cela vraiment une bonne idée et je prévois également de travailler là-dessus afin d’avancer la fin. Au minimum, la mensualité devrait alors être très maîtrisée. La dame de la banque avait aussi dit à l’époque qu’elle « n’avait aucun problème si un petit montant restait à la retraite ».
En ce qui concerne le soutien des enfants en formation, je suis aussi pour un juste milieu sain. Je pense toutefois que les « Basics » (logement dans un cadre normal, nourriture, vêtements, « argent de poche ») devraient être pris en charge par les parents. Pour les désirs au-delà (voiture personnelle, voyage lointain, cheval…) l’enfant devra alors s’en occuper lui-même et faire des efforts pour cela. En général, bien sûr, les différentes filières universitaires exigent aussi des investissements différents en temps d’études, donc aussi de travail à côté, et il faut bien sûr en tenir compte. Le classique est certainement la médecine, où cela devient déjà difficile.
Moi-même, j’ai travaillé presque tout le temps pendant mes études et j’ai financé mon hobby (cheval personnel) avec cela. En outre, je trouvais important ou même mon devoir de ne pas traîner et j’ai terminé dans le temps réglementaire.
« Chez nous », il y a ici l’université et la haute école spécialisée, donc beaucoup de possibilités aussi en ce qui concerne le choix de la filière. Pourtant, je ne vais pas imposer à mes filles le lieu d’études. Bien sûr, ce serait moins cher si elles étudiaient ici et vivaient encore à la maison. D’un autre côté, j’ai vu avec ma belle-fille que cela peut être aussi très salutaire pour les grandes princesses de devoir soudainement vraiment s’occuper d’elles-mêmes, parce que personne ne remplit le frigo ni ne remet le linge propre dans l’armoire. Il faut laisser du temps au temps. Pour ma grande, ce sera dans sept ans, et on verra alors. Que je doive éventuellement aussi les soutenir avec une bonne somme d’argent, je le prévois. Heureusement, les filles n’étudieront pas en même temps, mais l’une après l’autre, et elles auront aussi terminé bien avant ma retraite (malheur si ce n’est pas le cas!).