Je pense que j'ai finalement découvert le passage correspondant :
« Après réalisation des conditions de livraison, l'achèvement des prestations ***-Maison
pour une maison presque clés en main est au maximum de 10 mois
pour une maison clés en main est au maximum de 11 mois ». C'était dans la petite partie imprimée du devis de 20 pages.
À un autre endroit du contrat, il est écrit : « Les dates de livraison convenues ne sont valables que lorsque la clarté contractuelle et technique de la commande est établie et que les conditions de livraison (permis de construire, sélection terminée, approbation de la planification des travaux, confirmation du financement global, garantie irrévocable pour la dernière échéance, achèvement sans défaut et en temps opportun du sous-sol ou de la dalle de fondation en cas de réalisation par le client, remblayage de la fouille, etc.) sont remplies et présentes chez ***-Maison. »
Cela signifierait que la condition de livraison ne s'applique qu'une fois que le sous-sol est construit et la fouille fermée, et à partir de ce moment seulement, il faut compter 10 ou 11 mois. Mon Dieu, je me suis vraiment mis dans une situation difficile.
Mais il ne peut pas être possible que le maître d’œuvre n'ait aucune pression temporelle jusqu'à ce moment-là et puisse laisser traîner l'affaire.
Je n'ai rien pu trouver concernant le droit de rétractation, mais ce n'est pas si simple. Chaque nouveau maître d’œuvre demanderait à nouveau des frais de planification, les prix aujourd'hui sont certainement au moins 10 % plus élevés qu'à la signature du contrat fin 2019, une partie sera retenue par l'ancien maître d’œuvre, et les autres fournisseurs de maisons préfabriquées sont parfois complets jusqu’à l'année prochaine. Dans 10 mois, il faudra encore payer des intérêts de mise à disposition, car le crédit est déjà en cours, etc.
Je serais davantage fâché contre ma propre stupidité si je n'avais pas réussi, aujourd'hui, par plusieurs intermédiaires, à joindre le directeur général adjoint au téléphone. Il s'est excusé, disant que ce n’est pas leur manière normale de travailler, et demain, lorsque le responsable des sélections sera présent dans l’entreprise, il veut en discuter avec lui. On verra ce qui se passe. Je retrouve un peu d’espoir. Mais ce n’est pas la première fois...