Comme SeppWeller n’a pas été actif depuis fin mai, je ne pense pas qu’il lira la question.
Mes conseils généraux, quand on calcule plutôt serré :
1. Clarifier tôt les risques du sol ! Cela signifie : étude de sol (recommandation de fondation, classe d’élimination). Raccordements d’évacuation (notamment la profondeur). Frais de raccordement dans la commune. Avec ces informations, on peut exclure à l’avance certaines des mauvaises surprises les plus importantes.
2. Établir une liste de priorités : indispensable, agréable à avoir. Que faut-il faire immédiatement, qu’est-ce qui peut éventuellement attendre quelques années ?
3. Certains travaux peuvent aussi être réalisés assez facilement en propre, ou bien on peut économiser avec des sous-traitances externes (par exemple poser du vinyle ou du stratifié, tapisser). D’autres ne devraient pas être sous-traités, même si c’est tentant (notamment quand la garantie est un sujet important ; exemple : la dalle de sol).
4. Même si ça fait mal, il faut quand même mettre une marge de sécurité. Il y a toujours quelque chose qui survient.
Merci, oui, je suis en train de "rassembler" les coûts. C’est effrayant vers quelles sommes cela mène. 450 000, c’est irréaliste, c’est clair. Oui, en Autriche tu es responsable de la dalle toi-même, à part WOLF personne ne te le propose ici. Je suis charpentier de formation, poseur de sols depuis 10 ans, avec 20 ans dans le commerce du bois. Donc on peut résoudre pas mal de choses en propre. À 52 ans, la politique de crédit est limitée, et on ne veut pas atteindre la limite de faisabilité de 500 000. Avec 450 moins tous les "bruits" désagréables (terrain, stabilisation, remplissage, raccordements + frais, infiltration, compactage terrasse, rives, rigole, fondations maison et carport, asphalte, terre armée, remblai 1,5 m, humification, installation de chantier, donc terrain à part le pavage des rives & terrasse tout complet) il reste pour la maison préfabriquée purement 250 000 -, c’est trop peu, même si ça fait mal à entendre. Mais il y a des alternatives. Il faut penser différemment, et comme commerçant en bois j’ai des contacts. On verra bien.