Comme le terrain présente une pente modérée, nous allons construire avec une cave. Après des recherches et comparaisons approfondies, deux offres se sont dégagées comme suit :
[*Maison préfabriquée catalogue adaptée de Danwood
[LIST]
[*]Dimensions extérieures 10,57x8,92=94,3
[*]Prestation d’architecte (prix fixe, env. 8.000 €) et construction de la cave à commander séparément (c.-à-d. au moins trois contrats)
[*]Danwood recommande le partenaire constructeur de caves Glatthaar ainsi qu’un architecte qu’ils connaissent également
[*]Maison préfabriquée catalogue adaptée de Fingerhaus
[*]Dimensions extérieures 9,75x8,35=81,4
[*]Prestation d’architecte et cave comprises dans l’offre, c.-à-d. un seul contrat
Qu’est-ce qu’une « pente modérée » : sous-sol habitable côté vallée sans puits de lumière aérien ou même avec fenêtres du sol à l’air libre ?
75 ou 65 m² de surface habitable au sol ne sont déjà pas des maisons de même taille. Le comparatif est donc biaisé.
La première offre est maintenant, malgré une taille de maison plus grande, environ 25.000 € moins chère. Le fait que Danwood produise en Pologne et Fingerhaus en Allemagne peut déjà expliquer la différence de prix.
C’est absurde. Si la « plus petite » maison vous suffit vraiment, je ne vois aucune raison de prendre une plus grande. Le mythe « Pologne = discount » ne peut vraiment pas servir d’explication.
La cave doit être partiellement utilisée à des fins d’habitation, c’est-à-dire que l’entrée de la maison et le bureau pour le télétravail seront situés dans la cave.
Ah, nous parlons donc d’un accès côté vallée. Depuis le salon au rez-de-chaussée du catalogue, profite-t-on quand même de la vue sur la vallée, ou doit-on regarder vers un jardin en pente ?
Nous craignons qu’avec cette configuration, en tant que maîtres d’ouvrage, nous soyons broyés, ou bien que nous devions parfois jouer le rôle de conducteur de travaux sans expertise technique.
Comme cela doit être l’une des inquiétudes les plus justifiées de tous les temps, l’idée
dès que la planification est suffisamment avancée, de lancer l’appel d’offres pour la cave avec les travaux de terrassement et d’attribuer au meilleur choix. Idéalement ce serait Glatthaar,
me semble un paradoxe total et suicidaire, car
mon entendement serait que le constructeur de la cave construit celle-ci sur la base des plans de Danwood ou de l’architecte. Ces prescriptions devraient alors faire partie intégrante du contrat.
Pour être intégré au contrat, la « cave » doit impérativement faire partie du champ d’application du contrat. Il n’y a rien à mettre en appel d’offres ici, puisque l’attribution au constructeur de caves du fabricant de la maison est – comme Madame l’ancienne chancelière aurait dit – « sans alternative » en tant que cas idéal.
C’est aussi une question de responsabilité. Si ton constructeur de cave ne livre pas, pour une raison ou une autre, alors c’est ton problème et le constructeur de la maison peut te mettre en demeure si la date de mise en place échoue.
Tout sortant d’une seule main, c’est le problème du constructeur de la maison, la garantie du délai de construction s’applique.
Mais comme un seul interlocuteur assume ces clarifications et ce risque, c’est naturellement plus cher que lorsque le maître d’ouvrage se fatigue avec ça.
J’ai supprimé un petit mot important dans la citation. À chaque division en contrats séparés naît un triangle infernal au détriment du maître d’ouvrage :
OKKD est un point critique d’interface que l’on devrait laisser « en une main », du moins pour la responsabilité globale [...]. En scindant le contrat de construction en deux parties autonomes, tu ouvres la porte à ce que, en cas de problème, les deux parties se dérobent à leurs responsabilités respectives et rejettent la faute (ou en tout cas la compétence) sur l’autre.
Le fabricant de la dalle/cave mesure la hauteur à partir du regard de canalisation gauche comme point de référence (malheureusement « à l’autre gauche ») ou le plafond de la cave prévoit des ouvertures avec des coordonnées x/y en « mètres après Jésus-Christ » mais réalisées en « mètres plus TVA » et autres incohérences. C’est pourquoi une union des personnes du fautif et du responsable est absolument nécessaire ici.
Ainsi, le fournisseur sans intégration de la cave dans le champ contractuel serait déjà à éliminer catégoriquement.
Je rejoins cependant entièrement la proposition
Je ferais, comme dit, autrement et ferais développer le plan lui-même sous forme d’esquisse par un architecte indépendant. À partir d’exemples des plans standard des constructeurs favorisés, mais toujours impartialement pour tirer le meilleur parti de la pente, du terrain, des axes de vue et de vos besoins – cela vaut vraiment de l’or.
– non seulement en théorie, mais volontiers aussi en pratique (voir en externe « Point de décision : cap vers la mise en œuvre »). Ici, une maison catalogue ne peut en principe être utilisée qu’avec réserve. En choisissant un plan catalogue réputé recommandable, on peut perdre beaucoup d’argent si la position en pente n’est pas prise en compte de manière satisfaisante. Le modèle de base devrait donc être choisi « trop petit », afin que, y compris la cave supplémentaire imposée par le terrain, on ne finisse pas avec un besoin surdimensionné de surface habitable. Le demandeur devrait montrer le terrain (sans oublier de remplir le célèbre #questionnaire de Yvonne !), ensuite on pourra donner ici un conseil argumenté. Ensuite, un architecte libre devra réaliser le « module A » (voir « Un plan de construction de maison, aussi pour vous : le modèle de phases de la HOAI »), dont le résultat servira pendant le temps de pause de la pâte à prendre la décision sur la voie à suivre. Selon ce résultat, on reviendra alors soit à la phase 3 de la prestation, soit au « module B » complet auprès de l’architecte, puis éventuellement plus tard vers un fournisseur trouvé dans la prise de décision.
Je n’exclus pas que le demandeur soit ensuite heureux avec un constructeur en bois, mais cela est peu probable en pente, car (à part le charpentier d’arbustes) presque aucun constructeur en bois ne bâtit en contact direct avec le sol. Ce serait alors probablement une construction hybride.
Pour les lecteurs, je réponds rapidement aussi à la question du titre :
Deuxièmement, ce n’est pas le contrat d’architecte ici, mais la cave qui rend l’offre « complète ».
Et premièrement, l’architecte inclus dans un contractant général / constructeur de maison est toujours quelqu’un qui (dans cette forme de commande) ne réalise que les prestations d’architecte « nécessaires » – donc exclusivement celles qui ont trait à la délivrance des autorisations (et ce sont des points totalement différents des aspects d’exécution des souhaits du maître d’ouvrage, issus d’un tout autre film).