11ant
08.01.2022 17:21:17
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Je ne pensais pas spécialement au voleur - -. Son problème était en première dimension que le maître d’œuvre pouvait effectivement construire « tout » dans le sens d'Henry Ford (dans toutes les couleurs, à condition qu’elle soit noire), du standard basique avec plaisir aussi avec des interrupteurs dorés encadrés, mais bien du basique ; et en deuxième dimension, que son maître d’œuvre prenait le projet comme cobaye pour essayer un nouveau constructeur de gros œuvre. La haute couture du maître d’œuvre rate très probablement de manière exemplaire, même s’il y avait des références telles que des villas de chefs médecins avec piscine.Je pense à plusieurs compagnons d’armes ici. L’exemple le plus connu, mais je crois qu’il n’est plus trouvable ou référencé, est l’utilisateur Hotzenplotz : aussi un projet Mio, il voulait beaucoup de chichi et de nombreux changements, tout minutieusement réfléchi, mais chaque recoin posait d’une manière ou d’une autre un problème avec le maître d’œuvre (qui n’est pas adapté à ce genre de choses)
Exactement : pour la supposée surcharge des artisans, la description des prestations est un bon indicateur. Plus elle s’écarte des souhaits propres, plus cela va mal se passer (cf. aussi mon mantra Steineman). Mais aussi, quelles propositions de construction l’entrepreneur a dans son programme : plus il agit comme entrepreneur général plutôt que maître d’œuvre, moins il a d’habitude avec des maisons pour des maîtres d’ouvrage des classes supérieures. Là, il arrive vite qu’il y ait 70 m² de salon, qui offrent certes une surface beaucoup plus importante à nettoyer - mais malheureusement sans gain de grandeur de vie.?3 : la description des prestations lors de la maison « clé en main ». [...] Et cela à cause d’une pièce de la maison, que le maître d’œuvre n’a tout simplement pas dans son répertoire et qui dépasse les artisans.