Hansi02
03.12.2013 11:16:06
- #1
Bonjour !
Je voulais savoir si c’est simplement de la "malchance" lorsque l’architecte calcule pour une maison par exemple 215 000 € de coûts de construction et qu’après la structure brute ainsi que une partie des corps d’état secondaires (chauffage, enduit, chape, sanitaire, fenêtres) les coûts sont déjà supérieurs à 300 000 €. Les portes, le canal, les volets roulants, la peinture, la cloison sèche ne sont même pas encore comptés. Sans parler de l’ameublement. Nous sommes vraiment désespérés parce que d’autres "pièges financiers" nous attendent, auxquels nous, en tant que profanes, n’aurions jamais pensé. L’architecte ne nous y a jamais alertés à aucun moment. Pourtant, c’est un vétéran qui a construit des dizaines et des dizaines de maisons dans sa vie. Il ne peut pas être que nous allions peut-être à la ruine juste parce que l’architecte a totalement mal calculé. Alors, nous ne l’aurions pas laissé faire car nous n’aurions pas pu nous le permettre.
De plus, il parle tantôt d’une manière, tantôt d’une autre. Il n’y a plus aucune confiance, mais maintenant il faut que nous nous en sortions d’une manière ou d’une autre. Nous pouvons à peine dormir. Même si nous faisons beaucoup nous-mêmes (l’architecte avait prévu ici environ 15 000 euros, ce qui est respecté), nous ne pouvons pas emprunter davantage. Par exemple, des coûts élevés pour le remblaiement de la maison / l’évacuation s’ajoutent maintenant. Le terrassier dit que l’architecte aurait dû voir dès le début, d’après l’étude de sol (qu’il a en sa possession), que rien du déblais ne pouvait être réutilisé pour le remblaiement. Etc.
Quelqu’un aurait-il un conseil ?
Hansi
Je voulais savoir si c’est simplement de la "malchance" lorsque l’architecte calcule pour une maison par exemple 215 000 € de coûts de construction et qu’après la structure brute ainsi que une partie des corps d’état secondaires (chauffage, enduit, chape, sanitaire, fenêtres) les coûts sont déjà supérieurs à 300 000 €. Les portes, le canal, les volets roulants, la peinture, la cloison sèche ne sont même pas encore comptés. Sans parler de l’ameublement. Nous sommes vraiment désespérés parce que d’autres "pièges financiers" nous attendent, auxquels nous, en tant que profanes, n’aurions jamais pensé. L’architecte ne nous y a jamais alertés à aucun moment. Pourtant, c’est un vétéran qui a construit des dizaines et des dizaines de maisons dans sa vie. Il ne peut pas être que nous allions peut-être à la ruine juste parce que l’architecte a totalement mal calculé. Alors, nous ne l’aurions pas laissé faire car nous n’aurions pas pu nous le permettre.
De plus, il parle tantôt d’une manière, tantôt d’une autre. Il n’y a plus aucune confiance, mais maintenant il faut que nous nous en sortions d’une manière ou d’une autre. Nous pouvons à peine dormir. Même si nous faisons beaucoup nous-mêmes (l’architecte avait prévu ici environ 15 000 euros, ce qui est respecté), nous ne pouvons pas emprunter davantage. Par exemple, des coûts élevés pour le remblaiement de la maison / l’évacuation s’ajoutent maintenant. Le terrassier dit que l’architecte aurait dû voir dès le début, d’après l’étude de sol (qu’il a en sa possession), que rien du déblais ne pouvait être réutilisé pour le remblaiement. Etc.
Quelqu’un aurait-il un conseil ?
Hansi