Les banques doivent demander plus de garanties pour les prêts immobiliers

ben, un bon conseiller financier le montre toujours au client et lui conseille d'intégrer 3 % ou plus.

mais comme le volume (c'est aussi écrit dans l'article) des prêts par client augmente, poussé par la hausse des prix, et que les financements deviennent de plus en plus rares, on choisit quand même toujours 2 % ou un peu moins.

l'inflation ou les prix de la construction sont désormais découplés des augmentations salariales. celles-ci sont nettement inférieures.

L'avantage ou la sécurité des fixations de taux sur plus de 15/20 ans réside chez le client, le risque chez la banque. Ces variantes sont de plus en plus souscrites et très peu à court terme.

Oui, cela ne change rien au fait que personne ne sait où sera le taux d’intérêt dans 10 ans, tandis qu’aujourd’hui il est historiquement bas, et avec une majoration de taux d’environ 0,4 % sur 10 ans pour une meilleure sécurité des taux, il faut réfléchir à ce que l’on obtient à la place avec un remboursement plus élevé.

Le taux d’intérêt seuil avec un remboursement de 2 % est terriblement bas, si l’on fait le calcul - ce qui fait partie d’un bon conseil - la plupart des consommateurs choisissent, de mon point de vue à juste titre, d’accepter les coûts d’intérêt plus élevés avec un risque de taux plus faible et un effet de remboursement un peu moindre.

Il est indiqué « complètement » = cela signifie que le financement est garanti à hauteur de 60 % de la valeur hypothécaire.
La déclaration signifie donc simplement que plus de personnes financent plus de 60 % de la valeur hypothécaire. Cela peut être à 61 % ou à 300 %. Donc, pas de véritable signification.