Désolé de m'immiscer,
... mais au plus tard après la déclaration ...
Dans tous les cas, une telle installation représente d'abord un investissement d'environ 10 000 €, ce qui n'est tout simplement pas financièrement envisageable ...
il s'agit finalement probablement seulement de se convaincre soi-même des problèmes possibles manifestement reconnus ...
Mon avis personnel :
Celui qui aujourd'hui ne peut pas se permettre une ventilation contrôlée du logement pour environ 9 000 € devrait plutôt continuer à louer.
(Il y a vraiment plus qu’assez de ventes aux enchères forcées ... !)
Celui qui croit que son comportement de ventilation jusqu’à présent suffit pour l’objet mentionné devrait plutôt se faire conseiller de manière approfondie au préalable.
Celui qui construit avec un promoteur immobilier devrait savoir à quoi il s'engage.
Ce qui est un peu passé sous silence dans la discussion jusqu'à présent, c'est le
problème d'étanchéité à l'air de l'enveloppe du bâtiment avec échangeur de chaleur.
Celui qui croit qu'il achète une maison suffisamment étanche à l'air, seulement parce qu'un taux de renouvellement d'air est documenté, qui est inférieur à la limite prescrite par l’arrêté sur l'économie d'énergie (donc avec une ventilation par fenêtres 3 renouvellements d’air complets par heure, en grande partie non souhaités), devrait être conscient que l’on part ici d’une étanchéité permanente (en principe pour toute la vie de la maison) ...
Rendre un bâtiment résidentiel "apte" uniquement pour le test Blower-Door (respectivement la remise/pris en charge) est en principe faisable par n'importe quel peintre !
Celui qui croit qu’en pratique, la planification détaillée de la couche d’étanchéité à l’air selon la norme DIN 4108-7, une installation analogue professionnelle en respectant toutes les conditions cadres impératives et leur contrôle (y compris leur documentation) ont lieu, devrait continuer à rêver … ou poser les bonnes questions au promoteur !
Le promoteur calcule aussi.
Pourquoi recommanderait-il une installation de ventilation ?
Le bénéfice qui en résulte pour lui n’est sûrement pas proportionnel à l’effort qu’il doit fournir pour atteindre les 1,5 renouvellements d’air par heure à respecter (peut-être même un résultat de mesure à prouver par un contrôleur réellement indépendant).
Il refusera volontiers d’assumer sa responsabilité à ce niveau, car la voie judiciaire prend du temps ... et finalement peu l’intéresse.
(D’ailleurs, sur mes certificats de contrôle, indépendamment des valeurs mesurées, il est toujours indiqué : … « le résultat de mesure n’exclut pas la présence de défauts cachés. » … Pourquoi donc ?)
Il sera probablement beaucoup plus difficile de déterminer les impacts financiers (€) résultant de tels défauts, que les comparaisons de rentabilité déjà évoquées… sauf si l’on calcule directement les coûts de démolition.