markusPI
16.10.2019 02:21:39
- #1
Toute la discussion ici est complètement absurde : une femme INSISTE soi-disant pour des raisons ÉMOTIONNELLES pour qu’une part plus élevée soit inscrite sur un bien immobilier que ce qu’elle apporte réellement ???
Qu’y a-t-il d’émotionnel là-dedans ??? C’est purement de la rationalité, qui concerne des considérations financières, donc des calculs froids, mais les émotions, ce sont par exemple la tristesse, la joie ou la peine. Il est certes possible que la femme soit émotionnellement attachée au bien immobilier lui-même, qu’elle y associe des choses, etc., mais c’est quelque chose de complètement différent de la question de savoir comment la (juridique) organisation du financement doit être concrètement réalisée.
Si le cœur de la femme est attaché au bien immobilier, on peut toujours conclure un contrat lui donnant, en cas de séparation, une option d’achat pour la totalité de la maison. Mais ce n’est manifestement pas ce qui intéresse la femme, ce sont uniquement des considérations financières, et en plus très grotesques.
Je ferais clairement comprendre à cette femme que je n’accepte pas cet achat 50/50 avec une contribution réelle de 75/25. Et si elle persistait dans sa position très étrange, je me séparerais d’elle au plus vite ; les ennuis sont déjà programmés, et pas seulement en ce qui concerne le problème à l’origine de ce fil. En tout cas, je ne passerais pas une seconde à chercher une solution de compromis, mais je préférerais investir le temps ainsi économisé dans la recherche d’une femme plus normale.
Qu’y a-t-il d’émotionnel là-dedans ??? C’est purement de la rationalité, qui concerne des considérations financières, donc des calculs froids, mais les émotions, ce sont par exemple la tristesse, la joie ou la peine. Il est certes possible que la femme soit émotionnellement attachée au bien immobilier lui-même, qu’elle y associe des choses, etc., mais c’est quelque chose de complètement différent de la question de savoir comment la (juridique) organisation du financement doit être concrètement réalisée.
Si le cœur de la femme est attaché au bien immobilier, on peut toujours conclure un contrat lui donnant, en cas de séparation, une option d’achat pour la totalité de la maison. Mais ce n’est manifestement pas ce qui intéresse la femme, ce sont uniquement des considérations financières, et en plus très grotesques.
Je ferais clairement comprendre à cette femme que je n’accepte pas cet achat 50/50 avec une contribution réelle de 75/25. Et si elle persistait dans sa position très étrange, je me séparerais d’elle au plus vite ; les ennuis sont déjà programmés, et pas seulement en ce qui concerne le problème à l’origine de ce fil. En tout cas, je ne passerais pas une seconde à chercher une solution de compromis, mais je préférerais investir le temps ainsi économisé dans la recherche d’une femme plus normale.