haydee
17.10.2017 09:06:34
- #1
Nous construisons actuellement avec un entrepreneur général et jusqu'à présent, nous reconstruirions avec lui.
- planification libre
- grande transparence (il n’y a pas de description des prestations de construction, mais dès le début un calcul, ce qui permet bien de rajouter ou d’enlever des éléments)
- les artisans viennent tous des environs
- les corps de métier peuvent être retirés et remplacés par des travaux personnels.
À quelques villages de là, elle a fait réaliser la structure brute par l’entrepreneur général, prend tous les matériaux de cet entrepreneur et reçoit une aide professionnelle lorsqu’il bloque.
Une connaissance a construit avec un très petit entrepreneur général, elle pouvait même dire je veux les fenêtres du menuisier, je l’aide à enduire et à poncer, dans le salon on fait poser du parquet, dans la chambre des enfants on fait nous-mêmes le stratifié.
Il y a des entrepreneurs généraux qui sont flexibles, de sorte que les inconvénients généraux sont compensés.
Que vraiment 60 000 euros de bénéfice par maison restent, cela me semble un conte de fées.
- planification libre
- grande transparence (il n’y a pas de description des prestations de construction, mais dès le début un calcul, ce qui permet bien de rajouter ou d’enlever des éléments)
- les artisans viennent tous des environs
- les corps de métier peuvent être retirés et remplacés par des travaux personnels.
À quelques villages de là, elle a fait réaliser la structure brute par l’entrepreneur général, prend tous les matériaux de cet entrepreneur et reçoit une aide professionnelle lorsqu’il bloque.
Une connaissance a construit avec un très petit entrepreneur général, elle pouvait même dire je veux les fenêtres du menuisier, je l’aide à enduire et à poncer, dans le salon on fait poser du parquet, dans la chambre des enfants on fait nous-mêmes le stratifié.
Il y a des entrepreneurs généraux qui sont flexibles, de sorte que les inconvénients généraux sont compensés.
Que vraiment 60 000 euros de bénéfice par maison restent, cela me semble un conte de fées.