Elina
10.07.2014 14:07:14
- #1
Voici quelques chiffres :
Notre installation photovoltaïque de 7,28 kWc se trouve sur un toit orienté sud avec une déviation de 5° vers l'ouest. L'inclinaison du toit est très faible avec 20°, ce qui n'est pas optimal, car surtout en hiver le soleil y brille avec un angle très faible. En été, par contre, l'angle d'irradiation peut atteindre jusqu'à 90°, ce qui est bien.
L'installation fonctionne depuis moins d'un an, depuis novembre 2013. Depuis fin janvier, un compteur de consommation (S0) est installé, afin que l'installation puisse produire plus de 70 % lorsque la consommation est élevée. L'onduleur est contrôlé via un Solarlog, la puissance injectée ne doit pas dépasser 70 %, mais en cas de consommation plus élevée, l'installation est régulée plus tard, par exemple à partir de 80 %.
Je dois dire que les consommateurs classiques comme le lave-vaisselle ou la machine à laver, qui pourraient être mis en marche à midi, ainsi que la cuisinière, ne conviennent pas vraiment pour augmenter l'autoconsommation, car ces appareils génèrent des pics de consommation courts qui durent peut-être quelques minutes. Il vaudrait mieux une consommation moyenne continue, par exemple d'une pompe à chaleur pour l'eau sanitaire, d'une recharge de voiture électrique ou d'un climatiseur pendant plusieurs heures.
Le rendement le plus élevé se situe entre 11h et 14h, où nous dépassons régulièrement les 70 %.
Avec une consommation actuelle de 7 kWh par jour, nous couvrons environ 60 % par de l’électricité autoconsommée et devons acheter 40 % en plus. Cela représente actuellement environ 3 kWh par jour d’électricité externe. En hiver, la consommation est plutôt de 9 kWh par jour avec 80 % d’électricité externe. Sur l’année, la répartition est de 50/50.
Depuis novembre 2013, nous avons acheté exactement 1402 kWh d’électricité. Pour l’année complète, je compte sur un maximum de 1800 kWh. Notre consommation annuelle lors de la dernière période de facturation était de 3500 kWh, y compris la production d’eau chaude via un chauffe-eau instantané pour une maison individuelle de 200 m² et 2 personnes. Ainsi, nous couvrons environ 50 % des besoins avec le photovoltaïque. Je travaille d’ailleurs à la maison toute la journée.
Notre taux d’autoconsommation est cependant de 15 %, c’est-à-dire que nous injectons 85 % de l’électricité produite.
Depuis novembre 2013, nous avons injecté 3621 kWh et produit 4369 kWh (état au 01.07.2014).
Nous estimons donc un rendement d’au moins 7200 kWh, soit environ 1000 kWh/kWc. Actuellement, notre Solarlog affiche une valeur de 1042,8 kWh/kWc, mais avant ces trois jours de superbe météo, c’était déjà 1061 kWh/kWc. On avait prévu 950 kWh/kWc, les attentes sont donc largement dépassées.
Nous avons financé l’installation à hauteur de 13 000 euros, avec un taux d’intérêt de 3,3 %. Un remboursement mensuel de 110 euros, plus 50 euros (au lieu de 70 euros auparavant) d’acompte au fournisseur d’électricité. La rémunération de l’injection est de 14,07 ct/kWh, avec une retenue mensuelle de 54 euros net car le gestionnaire de réseau (VNB) ne compte que sur une injection annuelle de 4600 kWh. Cela engendre à la fois un régularisation importante sur la rémunération d’injection, car nous injectons beaucoup plus (au 1.7. : 300 euros reçus pour 523 kWh injectés) et une régularisation auprès du fournisseur d’électricité, car l’acompte est calculé sur une consommation annuelle de 2500 kWh, alors que nous consommerons probablement moins de 1800 kWh.
Dépenses annuelles (projetées) : 1320 euros pour les mensualités du crédit, intérêts fiscalement déductibles, TVA sur 7200 kWh : 192 euros.
Total : 1512 euros
Recettes : rémunération pour 6000 kWh injectés : 844 euros, acompte économisé grâce à l’autoconsommation de 1000 kWh : 250 euros, plus avantage fiscal pour amortissement exceptionnel et amortissement standard (5 % par an), environ 150 euros pour nous. Cela fait 1244 euros.
Avantages : faire ses courses chez Metro permet d’économiser pas mal (exemple : caisse de cola à 8,20 euros au lieu de 11,49 euros prix standard en supermarché, ce qui fait déjà plus de 200 euros par an pour 6 caisses).
Actuellement donc presque à l’équilibre, lorsque l’installation sera remboursée, c’est-à-dire après 10-12 ans, elle fera un vrai bénéfice. D’autant plus que le prix de l’électricité augmente et que l’autoconsommation (pompe à chaleur pour eau sanitaire, climatiseur split et voiture électrique prévus) sera plus importante. Elle commencera donc à générer du profit dès l’année prochaine.
Les installations à partir du 1.8. supérieures à 10 kWc doivent payer la contribution de la loi sur les énergies renouvelables sur l’autoconsommation, il faut donc choisir une installation plus petite ou être plus rapide .
Notre installation photovoltaïque de 7,28 kWc se trouve sur un toit orienté sud avec une déviation de 5° vers l'ouest. L'inclinaison du toit est très faible avec 20°, ce qui n'est pas optimal, car surtout en hiver le soleil y brille avec un angle très faible. En été, par contre, l'angle d'irradiation peut atteindre jusqu'à 90°, ce qui est bien.
L'installation fonctionne depuis moins d'un an, depuis novembre 2013. Depuis fin janvier, un compteur de consommation (S0) est installé, afin que l'installation puisse produire plus de 70 % lorsque la consommation est élevée. L'onduleur est contrôlé via un Solarlog, la puissance injectée ne doit pas dépasser 70 %, mais en cas de consommation plus élevée, l'installation est régulée plus tard, par exemple à partir de 80 %.
Je dois dire que les consommateurs classiques comme le lave-vaisselle ou la machine à laver, qui pourraient être mis en marche à midi, ainsi que la cuisinière, ne conviennent pas vraiment pour augmenter l'autoconsommation, car ces appareils génèrent des pics de consommation courts qui durent peut-être quelques minutes. Il vaudrait mieux une consommation moyenne continue, par exemple d'une pompe à chaleur pour l'eau sanitaire, d'une recharge de voiture électrique ou d'un climatiseur pendant plusieurs heures.
Le rendement le plus élevé se situe entre 11h et 14h, où nous dépassons régulièrement les 70 %.
Avec une consommation actuelle de 7 kWh par jour, nous couvrons environ 60 % par de l’électricité autoconsommée et devons acheter 40 % en plus. Cela représente actuellement environ 3 kWh par jour d’électricité externe. En hiver, la consommation est plutôt de 9 kWh par jour avec 80 % d’électricité externe. Sur l’année, la répartition est de 50/50.
Depuis novembre 2013, nous avons acheté exactement 1402 kWh d’électricité. Pour l’année complète, je compte sur un maximum de 1800 kWh. Notre consommation annuelle lors de la dernière période de facturation était de 3500 kWh, y compris la production d’eau chaude via un chauffe-eau instantané pour une maison individuelle de 200 m² et 2 personnes. Ainsi, nous couvrons environ 50 % des besoins avec le photovoltaïque. Je travaille d’ailleurs à la maison toute la journée.
Notre taux d’autoconsommation est cependant de 15 %, c’est-à-dire que nous injectons 85 % de l’électricité produite.
Depuis novembre 2013, nous avons injecté 3621 kWh et produit 4369 kWh (état au 01.07.2014).
Nous estimons donc un rendement d’au moins 7200 kWh, soit environ 1000 kWh/kWc. Actuellement, notre Solarlog affiche une valeur de 1042,8 kWh/kWc, mais avant ces trois jours de superbe météo, c’était déjà 1061 kWh/kWc. On avait prévu 950 kWh/kWc, les attentes sont donc largement dépassées.
Nous avons financé l’installation à hauteur de 13 000 euros, avec un taux d’intérêt de 3,3 %. Un remboursement mensuel de 110 euros, plus 50 euros (au lieu de 70 euros auparavant) d’acompte au fournisseur d’électricité. La rémunération de l’injection est de 14,07 ct/kWh, avec une retenue mensuelle de 54 euros net car le gestionnaire de réseau (VNB) ne compte que sur une injection annuelle de 4600 kWh. Cela engendre à la fois un régularisation importante sur la rémunération d’injection, car nous injectons beaucoup plus (au 1.7. : 300 euros reçus pour 523 kWh injectés) et une régularisation auprès du fournisseur d’électricité, car l’acompte est calculé sur une consommation annuelle de 2500 kWh, alors que nous consommerons probablement moins de 1800 kWh.
Dépenses annuelles (projetées) : 1320 euros pour les mensualités du crédit, intérêts fiscalement déductibles, TVA sur 7200 kWh : 192 euros.
Total : 1512 euros
Recettes : rémunération pour 6000 kWh injectés : 844 euros, acompte économisé grâce à l’autoconsommation de 1000 kWh : 250 euros, plus avantage fiscal pour amortissement exceptionnel et amortissement standard (5 % par an), environ 150 euros pour nous. Cela fait 1244 euros.
Avantages : faire ses courses chez Metro permet d’économiser pas mal (exemple : caisse de cola à 8,20 euros au lieu de 11,49 euros prix standard en supermarché, ce qui fait déjà plus de 200 euros par an pour 6 caisses).
Actuellement donc presque à l’équilibre, lorsque l’installation sera remboursée, c’est-à-dire après 10-12 ans, elle fera un vrai bénéfice. D’autant plus que le prix de l’électricité augmente et que l’autoconsommation (pompe à chaleur pour eau sanitaire, climatiseur split et voiture électrique prévus) sera plus importante. Elle commencera donc à générer du profit dès l’année prochaine.
Les installations à partir du 1.8. supérieures à 10 kWc doivent payer la contribution de la loi sur les énergies renouvelables sur l’autoconsommation, il faut donc choisir une installation plus petite ou être plus rapide .