Mizit
20.03.2016 17:18:12
- #1
En tant que personne ayant deux mains gauches, mon mari malheureusement aussi, nous ne pouvons déjà pas beaucoup imaginer cela. Mais j’ai deux exemples de maîtres d’œuvre bien connus de moi, qui sont sûrement beaucoup plus habiles que nous et qui se sont quand même bien « plantés » sur le sujet de l’auto-construction.
Les uns voulaient poser des carreaux avec le reste de la famille (également habile de ses mains), et quelle a été la fin de l’histoire ? D’abord, cela s’est mal passé au niveau du timing, les carreaux ont pu être posés plus tard que prévu, ce qui n’a pas plu aux aides qui avaient été prévues, il y a eu la première dispute. Ensuite, le résultat visuel final n’a pas été exactement comme ils l’avaient imaginé, ce n’étaient pas des professionnels. Les disputes ont continué. Fin de l’histoire : « on ne referait plus jamais comme ça. »
Les autres voulaient pratiquement tout faire eux-mêmes dans l’aménagement intérieur, ce qui n’était pas complètement insensé du point de vue professionnel, mais apparemment c’était aussi une grosse surestimation d’eux-mêmes. Ça ne marchait donc pas, là aussi ça a coincé, on se retrouve rapidement plusieurs mois en retard, le loyer continue... même si c’est seulement 750 euros de loyer, multiplié par 4... ici aussi le ton actuel est : « Même si ça avait été un peu plus cher sans l’auto-construction, après déduction du loyer et des nerfs, ça n’aurait pas été beaucoup plus. »
Je ne sais pas si ce genre d’aspects négatifs étaient aussi demandés, mais je ne miserais pas trop sur l’auto-construction.
Les uns voulaient poser des carreaux avec le reste de la famille (également habile de ses mains), et quelle a été la fin de l’histoire ? D’abord, cela s’est mal passé au niveau du timing, les carreaux ont pu être posés plus tard que prévu, ce qui n’a pas plu aux aides qui avaient été prévues, il y a eu la première dispute. Ensuite, le résultat visuel final n’a pas été exactement comme ils l’avaient imaginé, ce n’étaient pas des professionnels. Les disputes ont continué. Fin de l’histoire : « on ne referait plus jamais comme ça. »
Les autres voulaient pratiquement tout faire eux-mêmes dans l’aménagement intérieur, ce qui n’était pas complètement insensé du point de vue professionnel, mais apparemment c’était aussi une grosse surestimation d’eux-mêmes. Ça ne marchait donc pas, là aussi ça a coincé, on se retrouve rapidement plusieurs mois en retard, le loyer continue... même si c’est seulement 750 euros de loyer, multiplié par 4... ici aussi le ton actuel est : « Même si ça avait été un peu plus cher sans l’auto-construction, après déduction du loyer et des nerfs, ça n’aurait pas été beaucoup plus. »
Je ne sais pas si ce genre d’aspects négatifs étaient aussi demandés, mais je ne miserais pas trop sur l’auto-construction.