Oui, il est propriétaire des broussailles [Früchte hin oder her]. Mais le voisin est perturbateur de la propriété voisine en introduisant les plantes et est obligé de remédier à cette atteinte à la propriété, il doit donc enlever les arbustes à ses frais. Il me semble raisonnable de lui donner jusqu’à fin avril pour engager une entreprise et pour effectuer les travaux. Nous ne sommes même pas à la mi-février. Délai jusqu’au 10.04.2015 et - en cas de non-exécution - délai supplémentaire jusqu’au 30.04.2015, à partir duquel il sera en retard. Avec ces deux délais, indiquer déjà la réalisation en régie propre pour le cas d’un dépassement infructueux des délais.
C’est en fait assez simple, s’il n’y avait pas la composante relationnelle. Les mesures susmentionnées constituent la « mesure d’urgence », qui ne devrait être appliquée que si la visite amicale incluant la présentation des personnes et des projets ne porte pas ses fruits. Je tiens à souligner brièvement que toutefois, tous les futurs voisins ne sont pas ouverts aux arguments amicaux. Creuser la longue tranchée ici en dit déjà un peu long, en tout cas il y a une certaine tension dans l’air. Le voisin aurait déjà dû deviner après le bornage du terrain que certaines discussions allaient avoir lieu. Ajouter encore des mesures sur un terrain étranger... est vraiment un peu audacieux.
Je suis très curieux du résultat de la conversation. Il ne semble apparemment pas être très apprécié, sinon l’autre voisin ne l’aurait pas dénoncé immédiatement «... savait exactement...». Ce n’est pas un très bon signe non plus, mais cela peut être utile, car alors ce n’est pas toute la communauté des voisins qui te reprochera une attitude un peu dure, mais ils se réjouiront (peut-être secrètement) que quelqu’un lui mette les points sur les i. Mais tout cela est de la divination, cela peut être tout à fait différent.
Toitoitoi, ça commence vraiment mal. Tous les doigts sont fortement croisés ici pour une solution à l’amiable.