11ant
10.02.2024 23:17:07
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Nous avons cinq nouvelles constructions dans la rue. Notre plan local d’urbanisme stipule que, dans la partie arrière des , des vergers à hautes tiges doivent obligatoirement être créés. À cet effet, le nombre et la taille des arbres fruitiers à planter sont prescrits en détail pour chacun des terrains. Les maîtres d’ouvrage ont un an pour réaliser les plantations.
Au lieu des neuf arbres fruitiers, une piscine est construite. Je dirais que c’est quand même une sacrée différence.
Et je ne suis pas la seule à être d’accord. Probablement aussi l’employé du service d’urbanisme qui a suivi un cours de formation spécial pour piloter le drone de contrôle photographique.
Personnellement, je ferais honnêtement preuve de deux poids deux mesures : si la personne qui ne respecte pas la règle fait partie de la communauté villageoise et contribue par ailleurs à ce qu’on aime vivre là, alors je l’interrogerais en buvant un verre après la répétition de la chorale, pour savoir pour quels petits arbres elle a opté et comment ils ont pris. En revanche, si c’est quelqu’un qui considère le respect des règles comme de la niaiserie et vit strictement selon la devise « les riches ne clignotent pas avant de tourner », alors je l’aiderais probablement à prendre conscience de la situation. Car comme tu l’as déjà suggéré avec ...
D’autre part, je suis déjà énervée par le premier jardin de l’horreur qui est en train de se créer, où le véritable verger est en train d’être retourné pour un méga-piscine avec terrasse.
... la piscine ne serait sans doute que la partie émergée de l’iceberg, et bientôt un éclairage puissant dans le jardin de gravier illuminerait la « Goldkettchenvilla ». Ces gens-là ont besoin d’un vent contraire, au sens de Wolfgang Grupp « tant que le problème est encore petit ».