nix zu schwör
02.08.2019 10:20:18
- #1
Comme nous continuons à vivre dans une politique de taux d'intérêt bas, les coûts de construction des nouvelles constructions ne vont pas beaucoup changer.
Les emplois seront, si c'est le cas, principalement influencés par la numérisation, ce qui est toutefois peu attendu dans le secteur de la construction. La qualité ne s'améliorera pas non plus ici. Le BIM dans la construction de maisons individuelles privées n'apporte pas non plus une grande différence, excepté une augmentation des coûts annexes de construction. En outre, c'est surtout la technique du bâtiment (TGA) qui est un facteur de coût et qui agit fortement en réduisant les durées d'amortissement et de vie des ouvrages.
Dans la construction neuve, beaucoup est aussi déterminé par le maître d'ouvrage par le choix de l'équipement. Si l'on considère uniquement les pièces sanitaires, on voit quelle influence cela a. Aujourd'hui, même une maison individuelle a souvent 2 à 3 salles de bains.
Les coûts d'exploitation et les coûts de construction dans le parc existant vont en fait changer de manière significative, car la transition énergétique va devenir nettement plus chère, surtout si l'on maintient les objectifs fixés.
Ce qui me frappe, c'est que les banques jouent de moins en moins le jeu.
Les maîtres d'ouvrage mettent de plus en plus de temps à sécuriser leur financement. La KfW est presque devenue un « NoGo ».
L'immobilier n'est rien d'autre que des actions et on peut donc aussi y perdre de l'argent.
Les emplois seront, si c'est le cas, principalement influencés par la numérisation, ce qui est toutefois peu attendu dans le secteur de la construction. La qualité ne s'améliorera pas non plus ici. Le BIM dans la construction de maisons individuelles privées n'apporte pas non plus une grande différence, excepté une augmentation des coûts annexes de construction. En outre, c'est surtout la technique du bâtiment (TGA) qui est un facteur de coût et qui agit fortement en réduisant les durées d'amortissement et de vie des ouvrages.
Dans la construction neuve, beaucoup est aussi déterminé par le maître d'ouvrage par le choix de l'équipement. Si l'on considère uniquement les pièces sanitaires, on voit quelle influence cela a. Aujourd'hui, même une maison individuelle a souvent 2 à 3 salles de bains.
Les coûts d'exploitation et les coûts de construction dans le parc existant vont en fait changer de manière significative, car la transition énergétique va devenir nettement plus chère, surtout si l'on maintient les objectifs fixés.
Ce qui me frappe, c'est que les banques jouent de moins en moins le jeu.
Les maîtres d'ouvrage mettent de plus en plus de temps à sécuriser leur financement. La KfW est presque devenue un « NoGo ».
L'immobilier n'est rien d'autre que des actions et on peut donc aussi y perdre de l'argent.