11ant
17.09.2020 13:54:21
- #1
Nous essayons donc d'abord d'obtenir un plan fonctionnel au rez-de-chaussée, puis de planifier l'étage.
Mon père est vraiment très frugal
Dois-je vraiment réciter chaque semaine le mantra de la gravité de la planification du plan comme un chapelet ?
Le conseil urgent de commencer par le "deuxième" niveau s'applique en principe – donc aussi quand celui-ci doit être, comme ici, le niveau de l'habitant "plus léger" en termes de poids souhaité. Dans votre cas, il y a toutefois une particularité : le "deuxième" étage doit être le plus petit. Il en résulte que si l’étage supérieur doit être un étage complet, il faut pratiquement automatiquement y placer des pièces communes ou celles nécessaires aux habitants du rez-de-chaussée. Avec la buanderie, cela ne marche que partiellement, mais bien avec la pièce de service, la pièce de rangement ou autre.
Mais soyons honnêtes :
Je suis parti du pire et je m'attendais à ce que vous me rameniez à la réalité et que je rejette à nouveau le plan actuel
Ah là là, on ne se fâche pas une fois, et voilà que c’est pris pour un compliment. Je suis plus éloigné de considérer ton dernier rez-de-chaussée comme bon ou même simplement suffisamment bon que le Marlboroman d’aller chercher une cigarette. Je l’ai simplement jugé factuellement, car c’est au fond seulement une demi-maison, pas encore évaluable.
Le sol de la réalité est dur et particulièrement ici, pas pour les « mauviettes », comme dirait l’instructeur Schmidt : je considère ce concept, de ne transformer que légèrement le statu quo (le groupe du même nom me plaisait pas mal à l’époque), comme un rêve illusoire insuffisamment solide. Je suis désolé si cela t’a déconcerté en tentant néanmoins de répondre à la question de principe du toit le mieux adapté. Que la quadrature du cercle ait un ensemble de solutions vide est bien sûr une thèse non prouvée et sa réussite pas totalement exclue – mais un profane a pour cela au moins besoin d’une fée qui ne soit pas enfant unique.