Plan d'une villa urbaine de 166 m² avec deux étages complets, terrain de 655 m²

, je ne comprends malheureusement rien à ton message, mais je te remercie quand même pour tes informations. Je vais m’intéresser au sujet et en reparler avec l’architecte.

À ta place, il aurait fait partie de mes attentes client de signaler, compte tenu de la taille cible de 165/166 m², que 160 m² constituent une limite dans un programme de subvention actuel.

De quel programme de subvention parles-tu ? Les programmes KfW ne s’appliquent pas à nous ou ne sont vraiment pas rentables, car les économies ne valent pas l’effort. À ma connaissance, il n’y a pas d’autres programmes de subvention ici en Saxe-Anhalt. Merci encore pour la vue d’ensemble des plans !

Merci pour tes réflexions !

Nous trouvons la direction de l’escalier meilleure non seulement à cause de la saleté à l’entrée, mais aussi plus pratique, car on monte et descend plus souvent du salon que de la porte d’entrée. Esthétiquement, c’est aussi plus joli quand on regarde depuis la pièce à vivre à travers la porte vitrée. Mais tu as tout à fait raison pour la porte ; en fait, nous envisageons seulement de rendre accessible le battant droit ou peut-être d’opter pour une porte coulissante. Le couloir est effectivement un peu long, mais le raccourcir ne changerait pas grand-chose. Nous aimons d’une part que la cuisine soit un peu « enclavée » à droite et que le mur TV/projecteur à gauche soit assez long. Si on le raccourcit, ça ne marche plus malheureusement. Notre idée actuelle serait donc un grand bow-window côté terrasse. Cela rendrait la pièce de vie plus spacieuse et atténuerait le goulot d’étranglement près de la porte.

Le carport est en effet mal positionné sur ce plan. Il doit bien sûr être accolé à la maison. Nous ne perdons pas de lumière car le carport est au nord et il n’y a de toute façon pas de fenêtres au rez-de-chaussée à cet endroit. Je crois que tu t’es un peu trompée de direction en lisant le plan. La salle de bain au sud est peut-être vraiment peu judicieuse, mais je ne vois malheureusement pas de meilleur emplacement.
Concernant l’agencement des pièces :
- La salle technique doit être en haut à gauche à cause de la position des raccordements de la maison. Je trouve cela bien aussi car c’est de toute façon le côté nord-est.
- Nous souhaiterions que le bureau soit du côté est pour la lumière du matin, et nous aimons aussi la fenêtre d’angle à cet endroit.
- La cuisine doit avoir à la fois une sortie vers la terrasse et être exposée au sud pour recevoir beaucoup de lumière. Pendant la journée, c’est l’endroit où nous passons le plus de temps avec la table à manger.
- Le coin salon peut être un peu ombragé car il est gêné par le soleil, et nous y passons surtout la soirée. Il était important pour nous d’avoir la vue vers l’extérieur, côté ouest.
- Il ne reste donc pratiquement que l’emplacement actuel pour la salle de bain. Cela a aussi l’avantage de ne pas passer par la zone salissante quand on va aux toilettes.

Voilà nos idées à ce sujet. Ce serait bien sûr super si on pouvait optimiser le plan tout en respectant ces souhaits.

Pour l’étage :
Oui, tu as raison pour la buanderie. Elle est vraiment très petite. Je pensais qu’il valait mieux une petite pièce pour les produits de nettoyage, le papier toilette et l’aspirateur plutôt que pas de pièce du tout. Là encore, je suis preneuse de toute idée d’optimisation !
Et oui, la douche est sombre. Peut-être ne pas mettre la fenêtre nord aux toilettes mais plutôt une étroite dans la douche, qu’on pourrait alors dépoli ?

Merci beaucoup à vous !

Cordialement

De quel programme de subvention parles-tu ? Les programmes KfW ne nous concernent tous soit pas, soit ne sont vraiment pas rentables, car les économies ne valent pas l’effort. À ma connaissance, il n’existe pas d’autres programmes de subvention ici en Saxe-Anhalt.

L’architecte savait-elle que dans votre cas ce n’était pas pertinent ?
Nous parlons ici de nombreux projets sur plusieurs mois, pendant lesquels les directives des programmes de subvention peuvent également changer. Tu peux trouver plusieurs fils où des acquéreurs ont mis leurs plans en pause lorsque les fonds pour KfW55 ont été épuisés prématurément – certains d’entre eux peuvent désormais bénéficier d’un programme de subvention axé sur la durabilité (mais seulement si leur revenu du ménage correspond et s’ils ne dépassent pas la limite de 160 m²). Les architectes devraient garder ces nouvelles à l’esprit et en parler avec leurs couples constructeurs. Si ceux-ci disent que ce n’est pas important pour eux, tant mieux. Mais je trouve important que le professionnel en parle d’abord (chez moi, c’est alors "ma" Susanne qui le fait).

@11ant, je ne comprends malheureusement rien à ton message, mais je te remercie quand même pour tes infos. Je vais m’y pencher et en reparler avec l’architecte. [...] Merci encore aussi pour le résumé des plans !

Ton remerciement par politesse est gentil mais inutile, si mes informations ne le sont pas pour toi. Je vais essayer de t’expliquer à nouveau avec images, illustré ci-dessous par l’exemple de l’étage supérieur dans une version de dessin professionnelle, et je répète le contenu de mon texte en « langage simple » :

1. Les formats de pierres dérivent de l’idée de diviser l’unité « 1,00 mètre » en huit étapes égales. C’est pourquoi les architectes ne devraient pas être des universitaires arrogants se moquant complètement de la pratique des maçons. Chaque fois que les pauvres maçons doivent emmener les pierres à la scie, il y a des désaccords dans le rythme des joints (et on met du mortier dans les entailles de sciage des pierres, ce qui n’est normalement pas prévu dans les joints verticaux). Ensuite, le mur a des « poches de bricolage » comme stigmates que l’architecte est un coquin négligent. Bien qu’une douzaine de ces stigmates ne fasse pas s’écrouler une maison, cela affaiblit la stabilité du lien de maçonnerie. Par conséquent, les architectes devraient penser par paliers entiers de huitièmes de mètre, pour éviter une découpe inutile des pierres parfaitement adaptées à ce rythme.
2. Les pierres sont posées de manière à ce que les joints se trouvent au milieu des rangées supérieures ou inférieures, les rangées se chevauchant mutuellement pour former un lien stable appelé « recouvrement ». Autrefois, on alternait des pierres posées dans le sens de la longueur (appelées « coureurs », parce que le mur s’étend dans cette direction) et, dans la rangée suivante, des pierres posées transversalement (elles relient les coureurs parallèles de la rangée voisine, d’où leur nom de « ligatures »). Les formats de pierre actuels réunissent dans une pierre un morceau de mur équivalent à un bloc entier de leurs petits collègues. Ainsi, les murs d’épaisseur jusqu’à 24 cm (y compris 17,5 cm) sont faits uniquement en coureurs, dont chaque pierre (avec le joint vertical, c’est-à-dire le joint entre les pierres de la même rangée, aujourd’hui régulièrement « sec », c’est-à-dire sans mortier) fait 50 cm de long. Les murs d’épaisseur 30, 36,5 ou 42,5 cm, en revanche, sont aujourd’hui généralement faits en ligatures pures, les pierres (avec le joint vertical) faisant alors 25 cm de large. Seuls les joints horizontaux, où les rangées reposent les unes sur les autres, sont régulièrement mortairés. Selon le type de liaison (monolithique en mur complet en ligature ou en enduit isolant en coureur), la maxime « l’architecte doit penser comme le maçon travaille » se traduit par penser en multiples entiers (voire pairs) d’un huitième de mètre, c’est-à-dire positionner les murs et leurs longueurs dans une grille virtuelle d’un ou de deux huitièmes de mètre (12,5 ou 25 cm) sur des lignes virtuelles.
3. Les maçons alignent les pierres à leurs arêtes extérieures sur un fil à plomb. Ils commencent toujours par les coins extérieurs, d’abord les murs extérieurs puis murs porteurs intérieurs. Les cloisons non porteuses comme la couche d’isolation d’un enduit isolant suivent dans les phases suivantes. Les points de départ des lignes de la grille virtuelle sont donc de préférence les arêtes extérieures des murs extérieurs qui sont précisément sur le fil à plomb. Afin d’éviter au maximum la coupe des pierres, ces arêtes des murs porteurs intérieurs se trouvent à des pas de 12,5 cm vers le centre de la maison. Le mur 1 fait son décalage par rapport à la suite en tant que mur 1a entre la chambre et la pièce de rangement idéalement aussi par 12,5 / 25 / 37,5... cm. Puisque son épaisseur est de 17,5 cm, soit un pas et demi et non un ou deux, seule son arête tournée vers l’extérieur ou vers le centre de la maison peut se trouver sur une ligne de la grille. Là, l’importance d’une règle s’accentue, laquelle face du mur, en cas de doute, est décisive – appelée par moi « arête maître ». Les murs entre le dressing et la salle de bains, ainsi qu’entre la chambre et le bureau ou la chambre d’enfant, sont bien maçonnés mais non porteurs et peuvent donc être placés librement, indépendamment de leur épaisseur.

D’ailleurs, certaines dimensions ne correspondent pas mathématiquement ici, les murs 1 et 1a sont dessinés avec un décalage d’un huitième de mètre, mais selon les mesures ils sont en ligne droite tous deux à environ 3,70 m derrière l’arête intérieure du mur extérieur. En partant d’une coque de mur de construction de 24 cm, cela ferait 3,94 m (« correct » ce serait 4,00 ou 3,875 m).

4. Ce qui précède vaut aussi pour les sections de murs. Par exemple, 2,19 m (près de la salle de bains) correspondent à 4,38 pierres (mieux 4,5 = 2,25 ou 4,25 = 2,125 m), 1,91 m (près du bureau) à 3,82 pierres (mieux 4 = 2,00 ou 3,75 = 1,875 m) et ainsi de suite. Comme dit, ce dosage ne fait pas s’écrouler la maison, mais cette « torture des maçons » (comme dit, l’absence de ponctuation : emoticons ce n’est pas ma faute) ne sert personne.

Concernant toutes ces règles, ton architecte peut avoir un avis différent (et devrait alors pouvoir le justifier de façon convaincante). L’essentiel ici est que vous deux ne développiez pas les plans chacun de votre côté, donc que vous vous mettiez d’accord sur ces règles. Même si tu es le maître d’ouvrage et donc prioritaire, tu ne devrais pas chercher à la réprimander pour lui imposer la vision d’un vieil homme blanc / d’un 11ant jaune. L’important est qu’elle et “ses” maçons soient sur la même longueur d’onde à ce sujet. Laisse-la donc choisir les règles et respecte-les dans ton travail d’évolution des plans. Peut-être que ce paragraphe sera encore déformé par des mains ineptes – parfois il faut donc être rapide pour avoir lu mes propos avant leur sabotage.

Tu ne dois rien apprendre ici pour adorer ma sagesse, mais bien pour que cela te soit utile. Alors n’hésite pas à demander si quelque chose ne t’a pas encore été clair. Passons maintenant au dessin :

Merci pour les informations. J'ai maintenant compris le sujet. Le plan passe apparemment, après la planification préliminaire, au planificateur spécialisé, qui réalise ensuite les dessins d'exécution, les plans de coffrage et d'armature. Pour autant que je comprenne, ce dernier fera attention à ces points, mais je continuerai à me renseigner à ce sujet.

Revenons au projet. Ci-joint un nouveau projet de l’architecte. Que pensez-vous de l’escalier ? Selon le plan, il mesure apparemment 3,25 m de long et la hauteur d’étage est de 2,50 m. En incluant la hauteur du plafond, l’escalier doit franchir une hauteur de 2,84 m. Selon l’entreprise de construction, ils utilisent toujours ces dimensions, mais il me semble un peu raide. Qu’en pensez-vous ?

En raison de l’espace de vie un peu trop étroit, j’ai eu l’idée de sacrifier la baie en saillie à l’entrée pour avancer le mur vers la terrasse et l’équiper d’une porte coulissante relevable. Cela représenterait un coût supplémentaire, mais cela en vaudrait peut-être la peine. Qu’en pensez-vous ?

Cordialement

Merci @11ant pour les informations. J’ai maintenant compris le sujet. Le plan passe après la planification préliminaire probablement au spécialiste, qui fera ensuite les plans d’exécution, de coffrage et d’armature. Autant que je comprends, il fera attention à ces points, mais je vais continuer à poser des questions.

Je ne partage pas ton espoir. Il n’est pas payé comme critique et n’a pas une mission de contrôle, mais seulement de mise en œuvre. L’expérience montre qu’il laissera positionner la fenêtre de la cuisine exactement comme tu l’as dessinée, en face du robinet de l’évier. Et il ne calculera pas non plus combien de marches il faudrait pour que l’escalier soit plus confortable.

À cause du salon un peu trop étroit, j’ai eu l’idée de sacrifier la baie en saillie à l’entrée et de décaler le mur vers la terrasse pour y mettre une porte-fenêtre coulissante à levage. Ce serait un supplément, mais peut-être que cela en vaudrait la peine. Qu’en pensez-vous ?

Ce que nous en pensons, nous l’avons déjà écrit plusieurs dizaines de fois dans d’autres fils : 2. à la porte d’entrée, le auvent te sert, mais pas la "baie en saillie" ; 1. la "baie en saillie" coûte plusieurs fois plus cher que d’ajouter la même surface supplémentaire en profondeur continue de la maison. Le combien exactement dépend aussi de si la toiture doit couvrir la saillie. Et au moins de ma part, tu as déjà pu lire plusieurs fois que je prédis à la porte-fenêtre coulissante à levage seulement quelques années avant qu’elle ne sorte à juste titre de la mode. Plus de prix sans plus d’utilité. Ces choses existent uniquement parce qu’elles faisaient partie du standard dans les maisons bourgeoises il y a un demi-siècle. Aujourd’hui, les escaliers droits à volée unique, fenêtres du sol au plafond en overdose et fenêtres d’angle comme petit effet coquet font partie de l’architecture sociale villégiature.
Tu n’auras sans doute pas besoin d’un conseil personnel de moi, ton projet comporte peu de points sensibles mais nécessite plutôt un regard général (peut-être comme recommandé à un autre auteur par Katja).

Je conseillerais de chercher une personne de confiance expérimentée qui vous conseille pour la construction.

Dans ma salle d’attente, en tout cas, il y a des personnes désireuses de construire ayant un besoin beaucoup plus important d’expertise professionnelle, et tu sais maintenant de quelle manière je recommande d’affiner ton regard, ce que tu peux aussi appliquer toi-même.

L'expérience montre qu'il fera enfoncer la fenêtre de la cuisine 1:1 précisément contre le robinet de l'évier, comme tu l'as dessiné. Et il ne calculera pas non plus avec combien de marches l'escalier serait plus confortable à monter.

La fenêtre de la cuisine a un élément fixe dans la partie inférieure (voir vue sud) et ne heurte donc pas le robinet, à moins que nous n'installions un robinet extrêmement haut. (Petite blague)
C'est justement pour cette raison que je pose la question au sujet de l'escalier. Mais aujourd'hui, chez des connaissances, j'ai monté un escalier avec des dimensions presque identiques et j'ai trouvé ça correct.

Ce que nous en pensons, nous l'avons déjà écrit des dizaines et des dizaines de fois dans d'autres discussions : 2. au niveau de la porte d'entrée, le auvent te sert, mais pas la "erker" ; 1. le "erker" coûte un multiple de ce prix-là, les mêmes mètres carrés supplémentaires en construisant une augmentation continue de la profondeur de la maison. Le multiple exact dépend aussi de si le toit doit couvrir la saillie. Et au moins de moi, tu as déjà pu lire plusieurs fois que je ne donne plus que quelques années à la porte-fenêtre coulissante levante, jusqu'à ce qu'elle sorte à juste titre de la mode. Plus cher sans plus d’utilité. Ces trucs existent seulement parce qu'ils faisaient partie du standard dans les maisons de cadres il y a un demi-siècle. Aujourd'hui, des escaliers droits à volée unique, des fenêtres allant du sol au plafond en surdose, et des fenêtres d'angle comme petit détail chic font partie de la construction de villas sociales.

Tout cela a du sens, merci beaucoup pour ton retour. Nous planifions maintenant un auvent devant l'entrée et les coins des murs seront supprimés. La porte-fenêtre coulissante levante est probablement aussi abandonnée. À la place, ce sera un élément fixe et une porte de terrasse.
Une augmentation continue de la profondeur de la maison serait bien sûr géniale, mais c'est toujours le problème qu'elle doit se faire aussi aux deux étages, et là nous arrivons rapidement à plus de 170 m². Mais construire une saillie dans la largeur de la pièce de vie comme je l'avais imaginé ici est sans doute vraiment très cher, car alors le poids de l'étage supérieur doit être soutenu en continu. Tout est compliqué...

La fenêtre de la cuisine a un élément fixe dans la partie inférieure (voir vue sud) et ne cogne donc pas contre le robinet, à moins que nous installions un robinet extrêmement haut. (Petite blague)

Haha, drôle - dans le plan tu l’as explicitement dessiné comme si l’angle d’ouverture de la fenêtre était limité.