ypg
17.01.2025 23:02:25
- #1
On ne vit qu’une fois, les enfants grandissent vite, les années passent et à la fin on regrette de ne pas avoir été simplement un peu plus courageux. La situation financière est maintenant suffisamment détendue pour pouvoir oser un peu.
Tu as raison. Il en existe encore, ou trop peu, ceux qui osent encore un peu et qui montrent leur doigt à la construction clé en main ennuyeuse.
Et s’ils ne migrent pas d’un endroit à l’autre pendant des années jusqu’à ce que les enfants doivent aller à l’école, alors ils rénovent une vieille maison. Là, on peut se construire son œuvre de vie, réaliser son « petit » rêve, faire enfin quelque chose pour soi.
La seule chose qui m’impressionne :
Le bâtiment a été habité pour la dernière fois dans les années 70,
Ce n’est pas seulement une vieille cabane protégée au titre des monuments historiques, elle a aussi été abandonnée pendant plus de 50 ans. Ça ne fait de bien à aucune maison, encore moins à une maison ancienne. Mais je pense que l’architecte a pris cela en compte.
Cependant, je reste toujours un peu prudent face aux estimations d’un architecte. La plupart du temps, on construit si tard que beaucoup de prix ont déjà augmenté de 10 %. Pendant que des complications se produisent, une nouvelle hausse des prix s’ajoute. Il faut toujours prévoir une marge de sécurité, et je pense qu’ici il n’y en a pas, puisque ça doit être serré de toute façon, comme le reconnaît l’autrice du post.
Mais : on peut aussi contrebalancer en recourant, pendant la rénovation, à un plan B sur certains points ou en revenant en arrière si les prix flambent.
Et il y a encore l’option de ne pas raccourcir le travail à la mi-trentaine, mais de le compléter par un emploi annexe.
Il faut bien sûr le concilier avec les travaux en autoconstruction, mais d’autres y sont aussi parvenus. Ce seront juste deux années exigeantes. Et il ne faut pas voir cela comme quelque chose de négatif ou d’impossible, mais plutôt comme un défi à relever.