Knallkörper
07.10.2016 11:22:20
- #1
D'après mon expérience, il est tout à fait possible de créer des différences de température importantes et perceptibles entre les pièces, bien sûr aussi avec un chauffage par le sol. Dans notre maison actuelle, qui n'est pourtant pas très bien isolée, nous avons dans la chambre 14-15°C et dans les pièces adjacentes (salle de bain, chambre d'enfant) 25°C et 21°C.
Si cela ne devait pas être possible, cela représenterait pour moi une perte importante de qualité de vie, car je ne peux tout simplement pas dormir à 20°C.
Il ne me paraît pas non plus logique qu'il y ait une différence dans cette question entre le chauffage par le sol et les radiateurs classiques. L'inertie n'est pas un argument, étant donné que le chauffage par le sol dans la chambre est TOUJOURS réglé à 14°C (ou « éteint »).
L'isolation entre les pièces est certainement plus faible que l'isolation du mur extérieur, mais les différences de température sont aussi d'un ordre de grandeur plus faibles. L'isolation n'est toutefois PAS d'un ordre de grandeur moins bonne quand on construit par exemple avec du béton cellulaire, du Poroton ou une ossature bois + laine minérale. Le transfert thermique de la porte dépend évidemment du modèle de porte intérieure, mais un panneau en particules creuses n'isole probablement pas d'un ordre de grandeur pire qu'une fenêtre de taille égale dans le mur extérieur, pour remettre cette comparaison en perspective.
Je ne crois pas que la température de départ soit augmentée si, par exemple, on ne chauffe qu’une seule pièce. L’écart entre l’aller et le retour diminue d’abord lorsque seul un plancher chauffant est « traversé ». Bien sûr, cela dépend du type de régulation, je ne sais pas si chaque installation de chauffage régule désormais le débit volumique par la vitesse de la pompe ET la température de départ. Même si la température de départ devait être légèrement augmentée (ce que je ne pense pas), mais que le débit chute considérablement (parce que moins de circuits secondaires sont parcourus et que la perte de charge augmente ou parce que la vitesse de la pompe est réduite), alors beaucoup moins d’énergie sera transférée quand même. Cet effet compense très sûrement les inconvénients qui découleraient du fait que l’appareil de chauffage doit fonctionner à un point de fonctionnement moins favorable (ce qui reste à prouver).
Si cela ne devait pas être possible, cela représenterait pour moi une perte importante de qualité de vie, car je ne peux tout simplement pas dormir à 20°C.
Il ne me paraît pas non plus logique qu'il y ait une différence dans cette question entre le chauffage par le sol et les radiateurs classiques. L'inertie n'est pas un argument, étant donné que le chauffage par le sol dans la chambre est TOUJOURS réglé à 14°C (ou « éteint »).
L'isolation entre les pièces est certainement plus faible que l'isolation du mur extérieur, mais les différences de température sont aussi d'un ordre de grandeur plus faibles. L'isolation n'est toutefois PAS d'un ordre de grandeur moins bonne quand on construit par exemple avec du béton cellulaire, du Poroton ou une ossature bois + laine minérale. Le transfert thermique de la porte dépend évidemment du modèle de porte intérieure, mais un panneau en particules creuses n'isole probablement pas d'un ordre de grandeur pire qu'une fenêtre de taille égale dans le mur extérieur, pour remettre cette comparaison en perspective.
Je ne crois pas que la température de départ soit augmentée si, par exemple, on ne chauffe qu’une seule pièce. L’écart entre l’aller et le retour diminue d’abord lorsque seul un plancher chauffant est « traversé ». Bien sûr, cela dépend du type de régulation, je ne sais pas si chaque installation de chauffage régule désormais le débit volumique par la vitesse de la pompe ET la température de départ. Même si la température de départ devait être légèrement augmentée (ce que je ne pense pas), mais que le débit chute considérablement (parce que moins de circuits secondaires sont parcourus et que la perte de charge augmente ou parce que la vitesse de la pompe est réduite), alors beaucoup moins d’énergie sera transférée quand même. Cet effet compense très sûrement les inconvénients qui découleraient du fait que l’appareil de chauffage doit fonctionner à un point de fonctionnement moins favorable (ce qui reste à prouver).