Coût de la demande de permis de construire seulement 40 euros en raison de la demande de dispense ?

  • Erstellt am 29.04.2018 09:07:29

ruppsn

01.05.2018 22:27:34
  • #1

Eh bien, cela s’est produit ici 3 fois en tout. Il semble donc que ton avis ou ta conception ne correspondent pas à la réalité vécue, à ce qu’une administration ferait certainement ou ne ferait pas.
De plus, l’administration doit examiner lorsqu’un signalement ou une demande de contrôle est fait. Cela s’est produit ici 3 fois :
1. La hauteur ne semble pas correcte à première vue, appel au LRA, un agent se déplace, juge la vérification nécessaire, arrête le chantier
2. Les distances de recul sont apparemment mal calculées (pas à partir du terrain naturel, mais depuis le remblai), démarche auprès du LRA, LRA ordonne l’arrêt du chantier, contrôle, le maître d’ouvrage doit modifier la planification
3. La planification modifiée ne respecte ni le coefficient d’occupation ni le règlement des places de stationnement, LRA ordonne à nouveau l’arrêt des travaux jusqu’à présentation de la planification modifiée
On pourrait aussi penser que le LRA, en constatant le point 2, aurait également regardé le reste, mais non, il faut que tout soit soulevé par les profanes du voisinage...

Aurait, aurait, ... tu connais ça, non ? La situation factuelle est différente, les hypothèses n’aident pas non plus. [emoji6]
 

Escroda

02.05.2018 08:22:34
  • #2

Cette formulation donne l'impression que l'administration impose d'abord un arrêt des travaux sans contrôle, et que la construction est interdite jusqu'à ce que la vérification soit terminée. Or, dans ma réalité vécue, cela ne se produit effectivement pas. Dans ton cas décrit, manifestement non plus, car un employé est bien allé sur place pour vérifier les faits. De plus, je ne vois toujours pas un risque accru justifiant un arrêt des travaux en cas de dispense d'autorisation. Lors de la procédure d'autorisation, un voisin peut également demander un contrôle par l'administration, qui ordonne alors un arrêt des travaux en cas d'incohérences.

Il n'y a pas d'obligation. Elle devrait toutefois intervenir, ce qu'elle fait normalement, car une inaction pourrait entraîner des demandes d'indemnisation.

Que veux-tu me dire par là ? Ta thèse était que les oppositions durant la procédure d’autorisation ne conduisaient pas à un arrêt immédiat des travaux, ce qui n’est pas juste.

Comment peux-tu en être sûr ? En cas de violation grave des règles de construction, un arrêt des travaux est prononcé, qu’il y ait ou non autorisation.

Dans le cas d'une dispense d’autorisation, il n’y a pas d’autorisation. Et qui parle ici d’un « effet suspensif » dans ce contexte ?
 

Escroda

02.05.2018 08:52:44
  • #3
Connais-tu les plans de construction ? S’il devait être évident à partir de ceux-ci qu’il y a une situation contraire au droit de la construction, je te donnerais raison. Même dans ce cas, il n’y a aucun comportement illégal à reprocher aux autorités. Sur le plan juridique, la commune et le LRA prennent simplement acte du fait que quelqu’un souhaite construire là. Il faut seulement vérifier la preuve que le concepteur est habilité à fournir le dossier de construction et qu’il déclare que toutes les prescriptions sont respectées. C’est précisément là le point crucial dans le cas du bâtiment exempté. Le maître d’ouvrage se réjouit des délais courts et des faibles frais et oublie que toute la responsabilité incombe à l’architecte et donc aussi à lui. Car en cas de litige, le maître d’ouvrage doit faire valoir des demandes de dommages-intérêts contre le concepteur. Les autorités sont mises à l’écart ! Elles ont rempli leur part pour une construction sans bureaucratie en établissant le plan d’occupation devenu définitif. Dans quelle mesure le « garçon du LRA » s’y connaît est donc tout à fait sans importance pour le bâtiment exempté. Les réflexions visant à abolir la dispense de permis en NRW reposent précisément sur les mauvaises expériences pratiques avec des concepteurs irresponsables ou ignorants et sur la charge administrative accrue liée à la sanction et à la régularisation des infractions à la construction.
 

ruppsn

02.05.2018 11:07:33
  • #4

Eh bien, c’est toi qui as ajouté ce « sans contrôle préalable », je n’en ai rien dit. Je pars du principe que toute objection est d’abord vérifiée quant à sa plausibilité et sa proportionnalité. Si quelqu’un estime que la forme de la surface de la dalle ne lui plait pas pour des raisons purement esthétiques, un arrêt des travaux ne sera certainement pas prononcé, d’autant plus que la « vérification » devrait aussi être assez rapide.
Je ne voulais pas non plus semer la panique, mais quand on demande la différence, il y en a bien une. Que cette différence se manifeste souvent ou rarement est d’abord sans importance, n’est-ce pas ? Il s’agissait de la différence, pas de la probabilité qu’elle se produise.


Moi si, parce que je l’ai vécu plusieurs fois. Mais ce n’est pas non plus important pour expliquer la différence.


Autorité d’urbanisme de Nuremberg, je cite :
« … La contestation s’effectue par un recours auprès du tribunal administratif d’Ansbach dans le mois suivant la notification ou la publication officielle de la décision (voir section Recours contre les décisions). Cependant, le recours d’un voisin contre un permis de construire n’a pas, en vertu de la loi (§ 212 a du Code de la Construction - Baugesetzbuch), d’effet suspensif, c’est-à-dire que le maître d’ouvrage peut – à ses risques et périls – commencer les travaux (mais il risque, en cas d’annulation du permis, de devoir démolir la construction). … »
Il semble que ce soit un peu différent en Bavière…


… ce qui revient en fait à une obligation [emoji6]


Voir la citation ci-dessus : après la délivrance du permis, une contestation par un voisin signifie un dépôt de recours qui N’A PAS d’effet suspensif. Les travaux continuent – certes à risque – mais continuent. C’est au moins ce qui est indiqué sur le site de l’autorité d’urbanisme. Bien sûr, il se peut qu’ils n’y connaissent rien non plus… [emoji6]


Qui a parlé de grave ? Tu modifies constamment les faits. Ça ne nous fait pas avancer…
Peut-être que tu pourrais simplement dire très brièvement quelles sont les différences entre dispense de permis et procédure de permis pour le maître d’ouvrage. Ce serait peut-être plus constructif…
[/QUOTE]
 

ruppsn

02.05.2018 11:24:46
  • #5

Oui.

Je n'ai pas dit non plus que l'autorité avait agi illégalement, mais j'ai clairement montré mon agacement quant au fait qu'à mon avis ils se facilitent trop la tâche et que leur comportement est imprévisible. Chez nous, les distances de retrait sont recalculées et un coin d'1 m² seulement donnant sur l'espace public suffit à refuser la dérogation. Chez ce voisin en question, qui construit manifestement trop grand même aux yeux d'un profane, rien ne se passe, aucune vérification de plausibilité n'a lieu (distances de retrait, plan de stationnement (!) et coefficient d'occupation des sols - et pour ce dernier, il dépassait de 150 m² sur un terrain de 640 m² parce qu'il n'avait tout simplement pas indiqué les terrasses, les allées et les places de stationnement dans les surfaces !!!)

...et parmi les règles ne figurent pas des données pertinentes du plan d’aménagement comme le coefficient d’occupation des sols, le nombre de places de stationnement, la hauteur du bâtiment, etc. ?
Je soumets donc des plans pour un bâtiment contradictoires (plan de situation et calcul des surfaces) et celui qui vérifie compte au mieux le nombre de pages ?! Pourquoi se donner la peine alors ? Chacun pourrait simplement commencer à construire et voilà, la responsabilité incombe au maître d’ouvrage... et les intérêts des voisins n’ont de toute façon aucun rôle. Super système... mais on s’égare.
 

Alex85

02.05.2018 11:37:49
  • #6
Mais c’est bien là le principe du détourage. Les ingénieurs et le maître d’ouvrage assument la responsabilité. Si le géomètre calcule et représente les distances comme adéquates, c’est alors correct. Ce ne sont pas des amateurs.
Il faut garder à l’esprit que les détourages sont aussi soumis à des conditions, ils sont désormais possibles pour chaque [BV].

Le mode garantit que des spécialistes sont impliqués dans le projet et peuvent être tenus responsables en cas de fautes. N’oublie pas qu’il s’agit de professions liées à des affiliations dans leurs chambres, etc. Cela peut aussi causer des ennuis en cas de négligence.

Dans nos documents, il y avait une erreur, le géomètre (même un public ordonné) était responsable. Mais il était en plein rush quand cela a été découvert...
 

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