OlliQueck
15.06.2020 23:03:25
- #1
Bonjour à tous, nous sommes sur le point d’avoir un rendez-vous chez le notaire pour l’achat d’un terrain en pente sur lequel une maison a précédemment brûlé.
Sur le terrain se trouvait un bâtiment de 1,5 étage sur un sous-sol en béton massif (construit en 1989).
Comme seul le toit et une partie du rez-de-chaussée ont brûlé, le sous-sol n’a été affecté que par l’eau des pompiers. Ensuite, tout a été démoli à l’exception du sous-sol, qui a été protégé par une toiture en bâches.
Le terrain est vendu à titre privé et se situe au même niveau de prix qu’un terrain constructible non viabilisé comparable à côté. Contrairement au terrain voisin, nous espérons réaliser une économie grâce au sous-sol encore en partie intact et viabilisé, ainsi qu’aux travaux de terrassement déjà effectués.
« La maison a bien brûlé car presque tout était en bois », selon les pompiers. Néanmoins, nous nous posons des questions sur d’éventuelles substances nocives dans le sol et des démarches administratives imprévues lors de la planification ou auprès des administrations. Le « toit du sous-sol » est une surface plane en béton de 11,57 x 11,57 m avec des ouvertures pour la cage d’escalier, les conduites de chauffage et deux conduites d’évacuation des eaux usées.
Comme l’incendie remonte à un an, les murs sont déjà bien secs (mesurés à l’aide d’un appareil).
À quoi devrions-nous encore faire attention ? Voici quelques photos (les taches sombres sur le mur ne sont pas de la moisissure, mais des résidus de suie).
Sur le terrain se trouvait un bâtiment de 1,5 étage sur un sous-sol en béton massif (construit en 1989).
Comme seul le toit et une partie du rez-de-chaussée ont brûlé, le sous-sol n’a été affecté que par l’eau des pompiers. Ensuite, tout a été démoli à l’exception du sous-sol, qui a été protégé par une toiture en bâches.
Le terrain est vendu à titre privé et se situe au même niveau de prix qu’un terrain constructible non viabilisé comparable à côté. Contrairement au terrain voisin, nous espérons réaliser une économie grâce au sous-sol encore en partie intact et viabilisé, ainsi qu’aux travaux de terrassement déjà effectués.
« La maison a bien brûlé car presque tout était en bois », selon les pompiers. Néanmoins, nous nous posons des questions sur d’éventuelles substances nocives dans le sol et des démarches administratives imprévues lors de la planification ou auprès des administrations. Le « toit du sous-sol » est une surface plane en béton de 11,57 x 11,57 m avec des ouvertures pour la cage d’escalier, les conduites de chauffage et deux conduites d’évacuation des eaux usées.
Comme l’incendie remonte à un an, les murs sont déjà bien secs (mesurés à l’aide d’un appareil).
À quoi devrions-nous encore faire attention ? Voici quelques photos (les taches sombres sur le mur ne sont pas de la moisissure, mais des résidus de suie).