Peanuts74
04.03.2016 11:51:28
- #1
Une question pour d'éventuels juristes ou personnes ayant eu des expériences similaires.
Nous avons, du sous-sol (du côté de la rue au niveau de la rue) vers le rez-de-chaussée un escalier en béton armé en forme de U (double tournant sans palier intermédiaire).
« Hinter » l'escalier se trouve une fenêtre, afin qu'il y ait un peu plus de lumière dans la cage d'escalier et qu'on ne soit pas obligé d'allumer la lumière même en journée.
La fenêtre est fermée, donc non prévue pour être ouverte (sans levier, etc.).
Jusqu'ici tout va bien. Récemment, nous avons envisagé de poser un vitrage (partiellement) satiné, afin qu'on ne voie pas trop l'escalier depuis l'extérieur, et il est apparu que la vitre ne pourrait probablement jamais être retirée de la fenêtre, car l'escalier arrive jusqu'au mur.
La question est donc la suivante : est-ce un défaut (caché) si on ne peut pas remplacer la vitre d'une fenêtre sans soit endommager gravement l'escalier, soit avoir à casser un peu le plâtre intérieur et en partie la maçonnerie ?
Il ne s'agit pas pour le moment du second vitrage, pour lequel on pourrait se débrouiller, surtout au sous-sol, avec un film. Mais je me demande qui prendra en charge les coûts supplémentaires si, par exemple, la vitre venait à se casser. Dans ce cas, il faudrait, comme dit, casser un peu le mur au-dessus de la fenêtre pour pouvoir extraire la vitre vers le haut.
Merci beaucoup pour vos réponses, avis et éventuellement des jugements comparables ou des textes de loi...
Nous avons, du sous-sol (du côté de la rue au niveau de la rue) vers le rez-de-chaussée un escalier en béton armé en forme de U (double tournant sans palier intermédiaire).
« Hinter » l'escalier se trouve une fenêtre, afin qu'il y ait un peu plus de lumière dans la cage d'escalier et qu'on ne soit pas obligé d'allumer la lumière même en journée.
La fenêtre est fermée, donc non prévue pour être ouverte (sans levier, etc.).
Jusqu'ici tout va bien. Récemment, nous avons envisagé de poser un vitrage (partiellement) satiné, afin qu'on ne voie pas trop l'escalier depuis l'extérieur, et il est apparu que la vitre ne pourrait probablement jamais être retirée de la fenêtre, car l'escalier arrive jusqu'au mur.
La question est donc la suivante : est-ce un défaut (caché) si on ne peut pas remplacer la vitre d'une fenêtre sans soit endommager gravement l'escalier, soit avoir à casser un peu le plâtre intérieur et en partie la maçonnerie ?
Il ne s'agit pas pour le moment du second vitrage, pour lequel on pourrait se débrouiller, surtout au sous-sol, avec un film. Mais je me demande qui prendra en charge les coûts supplémentaires si, par exemple, la vitre venait à se casser. Dans ce cas, il faudrait, comme dit, casser un peu le mur au-dessus de la fenêtre pour pouvoir extraire la vitre vers le haut.
Merci beaucoup pour vos réponses, avis et éventuellement des jugements comparables ou des textes de loi...