11ant
15.05.2017 15:05:56
- #1
Dans une villa urbaine, à l’époque de la fondation ou de Weimar, vivait un industriel, un conseiller juridique ou une « capacité » spécialisée en médecine. Là, des plans plutôt rectangulaires étaient courants, les maisons avaient un axe / une direction de faîtage.
Pour les cubes KfW, aussi appelés villa Anstatt, il s’agit principalement d’un rapport avantageux entre la surface habitable et la surface des murs extérieurs. Un effet secondaire des plans carrés est qu’on peut les faire pivoter "sur place" de 90°, donc pour une orientation cardinalement "one size fits all".
Entre-temps, la part des villas Anstatt non carrées augmente - principalement pour la raison banale que les « terrains résiduels » encore disponibles sur le marché (ou seulement leurs emplacements constructibles), ne conviennent généralement pas pour un carré, généralement à cause d’un angle.
La symétrie n’est qu’_une_ contribution aux formes harmonieuses. Elle présente aussi l’inconvénient de vouloir souvent être rigoureusement respectée, ce qui fonctionne surtout à partir d’environ 120 m² de surface au sol. En ce sens, le plan que je soutiens
se traduirait par "dix par douze" ou au moins "neuf par onze" – en dessous cela deviendra difficile. Il me semble encore plus important de ne pas mélanger « distraitement » des fenêtres en formats portrait et paysage. Surtout la combinaison de formats paysage très allongés et presque carrés (ou formats portrait allongés et presque carrés) me semble, pour le moins, « déroutante ».
Un toit en croupe classique comprend en fait un faîtage, ce qui, sur un plan carré, signifierait des pentes différentes pour les côtés « longs » et « courts ». C’est pourquoi on construit plus simplement un toit en tente (qui est géométriquement une variante du toit en croupe, en quelque sorte un toit en croupe sans faîtage, comme un carré est un rectangle équilatéral).
Pour les cubes KfW, aussi appelés villa Anstatt, il s’agit principalement d’un rapport avantageux entre la surface habitable et la surface des murs extérieurs. Un effet secondaire des plans carrés est qu’on peut les faire pivoter "sur place" de 90°, donc pour une orientation cardinalement "one size fits all".
Entre-temps, la part des villas Anstatt non carrées augmente - principalement pour la raison banale que les « terrains résiduels » encore disponibles sur le marché (ou seulement leurs emplacements constructibles), ne conviennent généralement pas pour un carré, généralement à cause d’un angle.
La symétrie n’est qu’_une_ contribution aux formes harmonieuses. Elle présente aussi l’inconvénient de vouloir souvent être rigoureusement respectée, ce qui fonctionne surtout à partir d’environ 120 m² de surface au sol. En ce sens, le plan que je soutiens
Je vais, je pense, planifier avec une différence de longueur d’au moins 2 mètres
se traduirait par "dix par douze" ou au moins "neuf par onze" – en dessous cela deviendra difficile. Il me semble encore plus important de ne pas mélanger « distraitement » des fenêtres en formats portrait et paysage. Surtout la combinaison de formats paysage très allongés et presque carrés (ou formats portrait allongés et presque carrés) me semble, pour le moins, « déroutante ».
Personnellement, j’aime bien un toit en croupe, mais par contre pas une maison carrée…
Un toit en croupe classique comprend en fait un faîtage, ce qui, sur un plan carré, signifierait des pentes différentes pour les côtés « longs » et « courts ». C’est pourquoi on construit plus simplement un toit en tente (qui est géométriquement une variante du toit en croupe, en quelque sorte un toit en croupe sans faîtage, comme un carré est un rectangle équilatéral).