Eh bien, on obtient probablement un meilleur rendement à la bourse, le risque est légèrement plus élevé avec une durée similaire.
C’est ridiculement faux au point de ne pas mériter d’être pris en considération.
La rentabilité moyenne (mondiale) du marché actions (historique, qui connaît l’avenir) n’est ni équivalente, ni la classe de risque corrélée.
Asseyez-vous, note six.
Et le photovoltaïque est une poubelle après 20 à 25 ans. Et puis ?
Personne ne le sait. Du point de vue actuel : jetez-le. Il a généré des rendements de rêve pendant 20 ans.
En outre, beaucoup de choses sont actuellement planifiées sur le plan politique et le prix de l’électricité va probablement baisser par la redistribution du CO2.
Garantie du statu quo. Ce qui est promis ne peut pas être révoqué. Constitution et compagnie.
La rentabilité d’une installation photovoltaïque est totalement indépendante de l’évolution des prix de l’électricité. Je l’ai déjà opposé à Hampshire.
Vous achetez aujourd’hui une installation au prix X et vous savez très précisément ce qu’elle générera dans les 20 prochaines années, grâce à la loi. Ce n’est pas un pari. (RC 1)
Pour le risque résiduel, il y a des assurances qui, pour le citoyen lambda, ne coûtent en général rien car incluses, à condition de demander.
Ça va définitivement tuer le photovoltaïque, car le rendement sera alors perdu.
Ce sera exactement le contraire. La facture de gaz passera de 50 € à 200 € par mois, les autres riront.
Ce serait du moins la stratégie rationnelle. Le noir (illégal) sera de le retarder autant que possible. L’absence d’alternative, en somme.
Ça fait trembler les jambes.