Bonne blague, comment ça aurait pu être "pas de problème" ? - si je ne pouvais "entrer" sur mon terrain qu'avec un parachute pendant six mois, même moi, d'habitude plutôt pacifique, je réfléchirais très peu avant de me demander si une ordonnance provisoire suffirait ou si ce ne serait pas mieux de régler ça avec l'aide ;-) des talents de persuasion serbes.
Ce n’était absolument pas un problème d’obtenir cette autorisation.
Les coûts auraient été sensiblement à cinq chiffres, si cela avait pu être réalisé. Il faut bien accéder à la petite ouverture d’une manière ou d’une autre.
Les riverains pouvaient accéder, bien sûr, mais pas circuler en voiture. Ou seulement "avec de la chance" le week-end pour se rendre directement aux parcelles.
Cela a été jugé raisonnable, en face il y avait un intérêt économique du maître d’ouvrage. En pratique, sans fermeture, les gens n’auraient de toute façon pas pu accéder ni surtout quitter leurs terrains de manière fiable. Si un poids lourd de 40 tonnes se tient devant la rampe pour décharger, en cas de doute le plus lourd l’emporte ;-)
Le mécontentement se dirigeait plutôt vers le vendeur du terrain, qui était assis depuis des décennies sur la friche (laide). Car rationnellement, les riverains étaient bien gênés par le chantier et la fermeture, mais personne n’avait de meilleure idée à proposer.