Cela dépend aussi un peu du type de dossier que tu as. Les « gros » intermédiaires sont aujourd’hui tellement rassasiés qu’ils ne veulent en fait plus que les dossiers simples. Donc soit avec beaucoup de fonds propres (20-40 %) et des revenus suffisants, soit avec des revenus très élevés, de sorte que les financements à 100 %-120 % ne posent pas de problème. Dès que c’est un peu plus compliqué, comme par exemple pas de fonds propres mais d’autres biens hypothécables, ils n’en ont plus envie parce que cela demande du travail. Parfois, un courtier indépendant prend encore la peine de s’en occuper. Parce qu’il vit justement aussi à long terme des recommandations et de bonnes expériences, puisqu’il ne peut pas passer de publicité à la télévision.