Voki1
26.08.2015 22:11:33
- #1
Comme toujours dans la vie, il s'agit d'avoir une protection raisonnable et suffisante contre les risques existentiels. Sont également acceptables les risques qui font vraiment MAL lorsqu'ils se concrétisent. Le problème est toujours qu'on a affaire à des êtres humains avec tous les avantages, les inconvénients et une bonne dose de subjectivité. Cela me mettrait déjà un peu mal à l'aise d'aborder mon futur voisin pour lui demander comment compenser une éventuelle faillite de sa part, si jamais on se permettait de lui laisser temporairement déposer ses déblais sur mon terrain. Imagine un peu si on refusait cette demande et qu'il fallait ensuite vivre à ses côtés pendant des décennies.
Dans le cadre d’un "arbitrage des biens", le risque me semblerait tout simplement trop faible pour que je refuse une telle demande ou que j’y mette des conditions. Honnêtement, je n’en parlerais même pas, je répondrais tout de suite par un « bien sûr, tu peux faire ça pendant ta période de construction ». Puis on lèverait la bouteille de bière, on trinquerait et on se réjouirait mutuellement de ce super contact.
Maintenant, il suffit d’échanger le fait en une variable "y" et d’y substituer ensuite une situation presque quelconque de moindre ampleur. Alors, ça fonctionne aussi avec le voisin.
Dans le cadre d’un "arbitrage des biens", le risque me semblerait tout simplement trop faible pour que je refuse une telle demande ou que j’y mette des conditions. Honnêtement, je n’en parlerais même pas, je répondrais tout de suite par un « bien sûr, tu peux faire ça pendant ta période de construction ». Puis on lèverait la bouteille de bière, on trinquerait et on se réjouirait mutuellement de ce super contact.
Maintenant, il suffit d’échanger le fait en une variable "y" et d’y substituer ensuite une situation presque quelconque de moindre ampleur. Alors, ça fonctionne aussi avec le voisin.