: rattacher le terrain à 100 % à la valeur intrinsèque pour le rez-de-chaussée et évaluer les appartements pratiquement "dans le vide", ce n’est pas, à mon avis, correct. Avant de se disputer longtemps avec le conseiller fiscal et l’administration fiscale à ce sujet, je ne valoriserais pas les appartements selon la valeur intrinsèque, mais plutôt selon la méthode de
la valeur de rendement, c’est-à-dire : en fonction des revenus locatifs moyens réalisables. Cela donne alors une valeur vénale théorique dans laquelle la situation et donc finalement la valeur foncière au sol sont capitalisées proportionnellement sur l(es) appartement(s) et y sont donc incluses.
Un appartement de même taille dans un emplacement moins bon générerait moins de revenus locatifs, ce qui tiendrait compte de la valeur foncière au sol plus faible à cet endroit.
Pour la banque, il est d’ailleurs totalement indifférent de savoir comment elle répartit le prêt, car c’est toujours l’ensemble de l’objet qui est saisi.
Avec la même structure de propriétaires et de parts, oui. Cela s’applique-t-il également en cas de cession à des tiers ou en cas de structure de parts inégale ?
Cordialement
Dirk Grafe