Avec plaisir. Peut-être que c’est une piste de réflexion.
Bref sur le point b) : De zéro au début des travaux en moins de deux ans serait actuellement une performance très respectable. Et au début des travaux, on ne rembourse pas encore totalement le prêt.
PS : Bonne gestion de mon ton un peu brusque. Tu iras loin sur ce forum !
Merci pour le compliment
Non, sérieusement. Nous cherchons en ce moment chez les fournisseurs de maisons préfabriquées et avons en parallèle contacté un charpentier régional. Si tout se passe bien (ce qui ne sera bien sûr pas le cas, mais on peut toujours rêver), le début des travaux pourrait avoir lieu à l’automne prochain selon l’état actuel.
D’ici là, nous ne rembourserons pas 40 000. Il faut que je sois réaliste
Pourquoi ? Je pense que les deux veulent dire la même chose.
Je ne vois pas de contradiction dans les propos, même s’ils sont peut-être tous les deux très simplifiés. Pour la banque, c’est le taux d’endettement qui est important, afin que, en cas de problème, la banque récupère son argent en premier. Les prêteurs privés, eux, seront alors laissés sur le carreau.
Encore une petite chose qui m’intéresse personnellement : ai-je bien compris que vous n’êtes pas mariés ? Comment cela se passe-t-il alors pour la taxe de mutation immobilière pour le partenaire qui n’est pas lié aux vendeurs ? Y a-t-il encore un impôt à payer ?
Mais dans ma tête, ce n’est pas la même chose.
Prenons un exemple :
Variante A : On fait transférer le terrain à notre nom et on convient du paiement au jour X. On va à la banque et on dit : « Nous avons besoin de 360 000 euros pour la construction et en plus 60 000 pour le terrain. » Cela fait un total de 420 000. Le terrain ne peut donc logiquement pas être considéré comme apport personnel puisque la banque doit le financer - c’est bien cela ?
Ce serait correct et faisable, mais dans ma tête existe aussi la Variante B :
On fait transférer le terrain à notre nom et on convient un paiement mensuel aux grands-parents. On va à la banque et on dit : « Nous avons besoin de 360 000 pour la construction et nous possédons un terrain qui vaut 60 000 euros. » Cela fait un total de 360 000 avec un apport personnel de 60 000. Lors de l’évaluation de la liquidité, la dette privée doit bien sûr être prise en compte et déclarée. Au total, la mensualité pour la construction et la mensualité pour le terrain serait malgré l’apport personnel toujours nettement inférieure à celle de la Variante A.
C’est probablement une erreur fondamentale de raisonnement, mais j’aimerais comprendre !
Concernant la taxe de mutation immobilière - encore une bonne question. Je suppose cependant que nous allons l’éviter en faisant transférer le terrain à mon ami. Le mariage est de toute façon prévu pour l’année prochaine (ou on attendra simplement jusque-là).