11ant
09.11.2020 13:06:53
- #1
Comme nous avons apparemment majoritairement décidé de prendre la question au moins hypothétiquement au sérieux, je souhaite compléter ma contribution :
Il a déjà été plusieurs fois mentionné qu’un objet à partir d’une certaine taille et avec d’autres paramètres pourrait bien rester comme du plomb sur l’étagère d’un agent immobilier de luxe si on doit ou veut le vendre un jour. Cet objet serait le contraire d’un best-seller rapide et devrait, en cas de vente, être proposé si longtemps qu’il trouverait un acheteur au cours de la prochaine baisse seulement après avoir été publié durant le boom. Cela affecte le résultat de la vente doublement : par la perte de valeur et par la durée du financement en attendant la réalisation de la vente.
Par ailleurs, un grand objet – s’il est en surface – ne peut être camouflé efficacement qu’avec un mur et reste toujours un risque de sécurité, dans la mesure où il attire facilement l’attention d’acteurs professionnels XY-non résolus.
Je proposerais donc de dimensionner le complexe de façon plus discrète : inspiré par l’exemple de l’aile pour enfants de , je créerais le casino comme une unité séparée ; et je diviserais la collection de véhicules : quatre, au maximum cinq places à la maison. J’ai toujours beaucoup apprécié de combiner l’échange de véhicules avec une petite balade. À l’époque, il était encore possible d’immatriculer les véhicules à l’emplacement du garage, ce qui renforce également la sécurité.
Quand on lit un peu dans la rubrique financement, on remarque vite que TOUT chiffre donné est faux et QUELQU’UN dit TOUJOURS que pour si peu d’argent, on ne peut rien avoir (souvent avec raison, mais c’est TOUJOURS dit). En ce sens, je donnerais toujours ma fortune en unités de « Fantastilliards » sans mentionner la devise ;-)
Et je n’investirais jamais de fonds de construction supérieurs à la moyenne en quantité. Deuxièmement, au Tessin je ne me satisferais pas de cent mètres carrés uniquement parce que je me serais offert tous les milliers dans le Taunus (le load balancing fonctionne aussi dans le plaisir) ; et premièrement, j’aurais plutôt Gail dans les toilettes pour invités et Staff dans la remise que de dépenser l’argent dans la simple grandeur. Construire une surdose massive de mètres carrés ne peut pas – ce que je doute d’ailleurs à plusieurs reprises – économiser autant d’impôts.
Très sérieusement, si j’étais avocat (probablement en droit des faillites, bancaire ou des brevets d’après la description), je demanderais simplement à un collègue en droit du divorce lors d’une réunion d’avocats où il y a bientôt une maison opulente à saisir pour pas cher. Je n’irais pas dans un forum de ce genre – ce genre d’affaires se fait au sauna-club, à la douzième loge ou à la chasse.
Il a déjà été plusieurs fois mentionné qu’un objet à partir d’une certaine taille et avec d’autres paramètres pourrait bien rester comme du plomb sur l’étagère d’un agent immobilier de luxe si on doit ou veut le vendre un jour. Cet objet serait le contraire d’un best-seller rapide et devrait, en cas de vente, être proposé si longtemps qu’il trouverait un acheteur au cours de la prochaine baisse seulement après avoir été publié durant le boom. Cela affecte le résultat de la vente doublement : par la perte de valeur et par la durée du financement en attendant la réalisation de la vente.
Par ailleurs, un grand objet – s’il est en surface – ne peut être camouflé efficacement qu’avec un mur et reste toujours un risque de sécurité, dans la mesure où il attire facilement l’attention d’acteurs professionnels XY-non résolus.
Je proposerais donc de dimensionner le complexe de façon plus discrète : inspiré par l’exemple de l’aile pour enfants de , je créerais le casino comme une unité séparée ; et je diviserais la collection de véhicules : quatre, au maximum cinq places à la maison. J’ai toujours beaucoup apprécié de combiner l’échange de véhicules avec une petite balade. À l’époque, il était encore possible d’immatriculer les véhicules à l’emplacement du garage, ce qui renforce également la sécurité.
Ce qui me surprend le plus, c’est la discordance entre les souhaits pour la maison et le budget.
Quand on lit un peu dans la rubrique financement, on remarque vite que TOUT chiffre donné est faux et QUELQU’UN dit TOUJOURS que pour si peu d’argent, on ne peut rien avoir (souvent avec raison, mais c’est TOUJOURS dit). En ce sens, je donnerais toujours ma fortune en unités de « Fantastilliards » sans mentionner la devise ;-)
Et je n’investirais jamais de fonds de construction supérieurs à la moyenne en quantité. Deuxièmement, au Tessin je ne me satisferais pas de cent mètres carrés uniquement parce que je me serais offert tous les milliers dans le Taunus (le load balancing fonctionne aussi dans le plaisir) ; et premièrement, j’aurais plutôt Gail dans les toilettes pour invités et Staff dans la remise que de dépenser l’argent dans la simple grandeur. Construire une surdose massive de mètres carrés ne peut pas – ce que je doute d’ailleurs à plusieurs reprises – économiser autant d’impôts.
Mais sérieusement, avec un revenu de rêve comme ça et tous les contacts sociaux dus au style de vie actuel et au travail dans un cabinet indépendant, ça ne peut pas être si difficile de trouver des agents immobiliers top et des architectes top et de prendre des rendez-vous avec eux et de convenir d’une démarche ?
Très sérieusement, si j’étais avocat (probablement en droit des faillites, bancaire ou des brevets d’après la description), je demanderais simplement à un collègue en droit du divorce lors d’une réunion d’avocats où il y a bientôt une maison opulente à saisir pour pas cher. Je n’irais pas dans un forum de ce genre – ce genre d’affaires se fait au sauna-club, à la douzième loge ou à la chasse.