Je ne suis pas très calé là-dessus.
D’après ce que je lis, il a été convenu oralement (et probablement discuté avec le chef de chantier) que des boîtiers doubles devaient être installés. Mais par écrit, seuls des boîtiers simples ont été retenus. C’est ainsi que je comprends au moins ce post.
L’électricien s’est - probablement - tenu au contrat écrit.
Le chef de chantier vous a confirmé oralement le défaut.
Si l’entreprise de construction se met sur la défensive et se réfère à l’accord écrit, selon moi les chances sont plutôt maigres pour faire corriger le défaut. Je ne sais pas si dans un tel cas la mémoire du chef de chantier (en tant qu’employé de l’entreprise) est toujours aussi bonne.
Ce que je veux dire : à mon avis, ça va se jouer sur la base d’une bonne volonté commerciale. Le chef de chantier est conscient qu’une erreur a été commise. Mais selon le contrat, le travail a été « correctement » réalisé. Donc le chef de chantier va essayer de régler cela à l’amiable (sauf si cela engendre un travail très important). Si on pousse trop fort (c’est-à-dire en direction d’un travail très important [ouvrir les murs, refaire la pose, etc.]) la bonne volonté pourrait disparaître.
Il se peut aussi que j’aie mal compris le post initial ou que dans le contrat on parle simplement du « boîtier » et que le type de boîtier soit défini ailleurs.
Comme je l’ai déjà écrit plus haut, j’ai du mal à juger.
Mais d’après ce que le TE a écrit, le contrat ne mentionne qu’un boîtier et non un boîtier double. Il partait du principe qu’il s’agissait du boîtier double qu’il avait demandé (et discuté).
Mais s’il y a bien UN boîtier dans le contrat, alors le contrat est exécuté. (entre commerçants, les accords oraux sont aussi considérés comme contrat – mais entre particulier et professionnel, seules les écritures comptent, si je ne me trompe pas).
Je ne dis pas que l’entreprise de construction n’a pas l’esprit ouvert ni qu’elle ne bougera pas – après tout, cette affaire repose en partie aussi sur des recommandations. Mais si on applique la méthode brutale (vous DEVEZ tout déchirer et refaire), il se peut aussi que l’entreprise réfléchisse en termes de rapport effort/bénéfice et parte tout simplement.
Faux, doublement indiqué par écrit dans l’offre, simple dans les plans. Je n’ai pas pu savoir si des gaines vides ont été posées – je n’ai que des photos, avant que les boîtiers soient installés, et la situation actuelle.
Encore sur le sujet du professionnel : quand on voit un énorme paquet de câbles au tableau électrique, je ne contrôle pas CHAQUE câble ni ne les compte. J’ai vérifié qu’il n’y avait pas de « câble russe », mais s’il s’agissait de vrais câbles réseau. Je n’ai pas prêté attention à la quantité, parce que je ne voulais/pouvais pas ouvrir le paquet (ils étaient attachés avec des attaches).
Donc encore une fois : écrit clairement – boîtiers réseaux doubles – sur le plan un seul boîtier était dessiné – je suis parti du principe qu’il s’agissait d’un boîtier double. Lors de la sélection électrique, j’ai d’ailleurs encore attiré l’attention dessus – phrase typique de l’électricien : ouiiii, ouiii… vous connaissez le jeu ;)
Selon le chef de chantier, le câble ne peut pas être rétracté, je suppose que les gaines vides sont pleines (électricité/antenne/courant).
D’où la question explicite : quel est le montant du dommage. Je pense que cela doit faire mal à l’entreprise de construction autant que ça m’a fait mal à moi – remboursement complet.