wadenkneifer
26.01.2014 22:18:03
- #1
Non, je parle du prêt. Avec des chiffres d'exemple simples :
Salaire lui : 75 %
Salaire elle : 25 %
Prêt : 100 000 €
Sécurité réciproque : réduction du prêt à un volume que l'autre peut supporter avec son salaire ou une possible augmentation. Exemple : 50 000 € pour lui et 20 000 € pour elle. (comme dit : chiffres fictifs !).
Pourquoi pas 75k et 25k ? (ce serait à mon avis la "variante ultra-sûre") : elle devrait pouvoir gérer avec un maximum (pire des cas) de 50 % de dette résiduelle. Ce cas ne pourrait survenir que si, au moment du sinistre, aucun remboursement n’avait été effectué. De plus, il y a encore l’élément de sécurisation 2 :
Compensation des revenus (y compris des revenus virtuels pour les périodes d’éducation des enfants chez elle) de l’un ou l’autre pour au moins 1 an, mieux 1,5 ans + "bonus" pour l’éducation des enfants, avenir des enfants.
Ces deux éléments ont simplement été regroupés en un seul.
PS : je ne suis pas un expert en assurances ni rien de tel, mais cela m’a semblé le plus raisonnable en tenant compte des probabilités d’occurrence, des scénarios de sinistre, etc.
Salaire lui : 75 %
Salaire elle : 25 %
Prêt : 100 000 €
Sécurité réciproque : réduction du prêt à un volume que l'autre peut supporter avec son salaire ou une possible augmentation. Exemple : 50 000 € pour lui et 20 000 € pour elle. (comme dit : chiffres fictifs !).
Pourquoi pas 75k et 25k ? (ce serait à mon avis la "variante ultra-sûre") : elle devrait pouvoir gérer avec un maximum (pire des cas) de 50 % de dette résiduelle. Ce cas ne pourrait survenir que si, au moment du sinistre, aucun remboursement n’avait été effectué. De plus, il y a encore l’élément de sécurisation 2 :
Compensation des revenus (y compris des revenus virtuels pour les périodes d’éducation des enfants chez elle) de l’un ou l’autre pour au moins 1 an, mieux 1,5 ans + "bonus" pour l’éducation des enfants, avenir des enfants.
Ces deux éléments ont simplement été regroupés en un seul.
PS : je ne suis pas un expert en assurances ni rien de tel, mais cela m’a semblé le plus raisonnable en tenant compte des probabilités d’occurrence, des scénarios de sinistre, etc.