RomeoZwo
12.03.2021 11:08:34
- #1
Pour le cas actuel, tout est clair. Le voisin a déjà donné son accord et il n'y a pas de problèmes. Il faut maintenant juste veiller à ce que le notaire n'évalue pas la valeur trop haut (parce qu'il gagne plus ainsi), mais les notaires fonciers sont plutôt considérés comme équitables :-) . Ici, c'est le promoteur immobilier et son notaire qui ont raté le coup à l'époque - c'est dommage, mais on aura probablement du mal à les rendre responsables.
Mais de manière générale concernant la situation juridique :
- S'il n'existait pas d'accès pour B à travers le jardin, B aurait un droit de passage légal vis-à-vis de A. A aurait alors droit à une rente d'usage dite « Wegerente » calculée à partir de la surface dont B a besoin (seul !). Ce serait donc dans ce cas un tiers du chemin que A, B et C utilisent ensemble.
- S'il existe une autre entrée, c'est tout à fait différent. Le droit de passage légal disparaît. En cas de doute, la porte d'entrée devrait également être déplacée (oui, dans le cas présent, ce n'est pas réaliste).
Mais de manière générale concernant la situation juridique :
- S'il n'existait pas d'accès pour B à travers le jardin, B aurait un droit de passage légal vis-à-vis de A. A aurait alors droit à une rente d'usage dite « Wegerente » calculée à partir de la surface dont B a besoin (seul !). Ce serait donc dans ce cas un tiers du chemin que A, B et C utilisent ensemble.
- S'il existe une autre entrée, c'est tout à fait différent. Le droit de passage légal disparaît. En cas de doute, la porte d'entrée devrait également être déplacée (oui, dans le cas présent, ce n'est pas réaliste).