Cela semble être des bêtises. Les "règles" d'évaluation pour la détermination des valeurs d'hypothèque varient d'une banque à l'autre, parfois même d'un employé à l'autre au sein de la même banque. Je ne me contenterais pas d'une explication aussi généralisée et obtiendrais effectivement des offres comparatives. En fin de compte, toutefois, le montant de la valeur d'hypothèque joue souvent un rôle uniquement dans la détermination des conditions. La première tranche d'hypothèque (60 % de la valeur d'hypothèque) est considérée comme particulièrement sûre et est donc moins chère que la tranche subordonnée. En règle générale, on obtient aujourd'hui un prêt à taux mixte, qui comprend les deux composantes. C’est là que la comparaison et la négociation valent de nouveau la peine. On peut aussi négocier (muni de bons arguments) sur le montant de la valeur d'hypothèque.
La carte des valeurs foncières indique cependant UNIQUEMENT des valeurs passées. Et ce, encore en moyenne statistique. Les emplacements très bon marché - en réalité donc non désirés - (prix réel en dessous de la valeur foncière) et les emplacements très demandés (prix souvent sensiblement au-dessus de la valeur foncière) ne sont donc pas spécifiquement pris en compte par la valeur de référence, mais s’effacent dans la moyenne.
Grâce à l’autonomie privée, chacun peut en principe conclure n’importe quelle transaction avec n’importe qui. Cela inclut aussi des transactions qui désavantagent une partie (jusqu’à la limite de l’illicéité). Ici, ce serait un prix au mètre carré éventuellement fortement différent des autres prix. En fait, ce prix ne semble toutefois pas complètement sortir du cadre.
Au bout de toutes ces explications, il reste (comme toujours) à constater qu’il faut réfléchir à savoir si le prix demandé correspond à ce que l’on estime raisonnable vis-à-vis du terrain (acheter) ou non (négocier ou ne pas acheter). Nous avons en fait aussi payé "trop cher" pour notre terrain (1600 m²). Je n’ai jeté qu’un coup d’œil à la valeur de référence. Ce sont des raisons tout à fait personnelles qui ont motivé l'achat : emplacement, terrain rural, taille du terrain rarement disponible, vue non constructible et aussi le voisinage très agréable.