toxicmolotof
10.03.2018 09:05:22
- #1
Vous mélangez là deux choses qui peuvent coïncider, mais qui n'ont fondamentalement pas grand-chose à voir l'une avec l'autre.
D'abord, une banque gagne toujours la même chose avec un prêt à taux fixe, peu importe l'évolution des taux d'intérêt.
La cession de créances a presque toujours l'une des deux raisons suivantes : réduire le risque ou augmenter la liquidité (ou les deux).
Le débiteur n'est concerné que de manière indirecte, car c'est la banque qui gère ainsi son propre risque ou sa liquidité.
C'est pourquoi la cession de créances ne pose aucun problème pour le débiteur. Tant qu'il respecte le contrat, il ne se passe rien. Et s'il ne le respecte pas, il y a exécution forcée. Et là, peu importe la banque ou la société qui exécute. Il ne se passe donc rien à proprement parler.
Pour d'autres créances, l'affacturage (cession de créances) est plutôt la règle que l'exception, bien sûr sans garantie par hypothèque.
Et en ce qui concerne la durée et le risque corrélé, tu n'as pas tort, mais tu n'as pas raison non plus. Tu as ignoré l'article 489 du Code de la construction et de l'habitation.
D'abord, une banque gagne toujours la même chose avec un prêt à taux fixe, peu importe l'évolution des taux d'intérêt.
La cession de créances a presque toujours l'une des deux raisons suivantes : réduire le risque ou augmenter la liquidité (ou les deux).
Le débiteur n'est concerné que de manière indirecte, car c'est la banque qui gère ainsi son propre risque ou sa liquidité.
C'est pourquoi la cession de créances ne pose aucun problème pour le débiteur. Tant qu'il respecte le contrat, il ne se passe rien. Et s'il ne le respecte pas, il y a exécution forcée. Et là, peu importe la banque ou la société qui exécute. Il ne se passe donc rien à proprement parler.
Pour d'autres créances, l'affacturage (cession de créances) est plutôt la règle que l'exception, bien sûr sans garantie par hypothèque.
Et en ce qui concerne la durée et le risque corrélé, tu n'as pas tort, mais tu n'as pas raison non plus. Tu as ignoré l'article 489 du Code de la construction et de l'habitation.