Comment dois-je me comporter si ma caution de location n'est pas remboursée ?

D'après mon expérience, ce sont toujours les propriétaires privés qui me font passer pour un énorme Larry et qui, avec un appartement au dernier étage à Erkenschwick, pensent qu'ils louent Mar-a-Lago.

Chez les propriétaires privés, une rénovation éventuellement nécessaire pèse directement sur un portefeuille pas très bien garni. Dans la grande société de logement, les employés n'utilisent pas leur propre argent. C'est certes ennuyeux quand il y a des problèmes qui coûtent de l'argent. Mais après 16 heures, cela ne dérange plus l'employé car il est rentré chez lui.
En tant que propriétaire privé, je profite aussi de tous les délais possibles pour ne surtout pas récupérer de l'argent d'un locataire déjà parti.

Comment doit-on se l'imaginer ? Jusqu'à présent, à la remise de toutes mes appartements, j'ai toujours reçu un procès-verbal de réception dans lequel figurait généralement "Aucun défaut". Le propriétaire peut bien attendre ses 6 mois, mais il ne peut pas simplement ajouter unilatéralement de nouveaux défauts à la liste pendant ces 6 mois. Une réception sans défaut est une réception sans défaut, sauf s'il me prouve que je l'ai trompé au sujet des défauts. Or, ce n'est pas une tromperie si je ne mentionne pas la rayure dans le stratifié, il doit bien la voir lui-même... Ce serait vraiment trop. Le propriétaire visite l'appartement avec un intéressé, celui-ci fait tomber un pot de fleurs ou une bouteille de vin rouge sur les carreaux, une tuile se fissure, le propriétaire ajoute "Carreaux cassés, cuisine" au procès-verbal de réception et retient toute ma caution pour refaire carreler la cuisine...

Peut-il s'agir ici d'une question du type "et si?" et non du type "j'ai un problème!"?

Comment doit-on se l'imaginer ? Jusqu'à présent, pour tous mes appartements, j'ai reçu un protocole de remise dans lequel il était généralement écrit « Aucun défaut ».
Le propriétaire peut bien attendre ses 6 mois, mais il ne peut pas simplement ajouter unilatéralement de nouveaux défauts à la liste pendant ces 6 mois.

Mais il peut tranquillement – s’il ne l’a pas encore fait – s’occuper d’un calcul approximatif des charges locatives. Ou vérifier une nouvelle fois s’il n’y a pas des défauts qui n’étaient pas visibles lors de la remise. Peut-être qu’on ne s’est pas quittés en bons termes et que le locataire, juste pour s’amuser, a percé la canalisation d’eau avec un foret de 1 mm pour emmerder le propriétaire (oui, ce genre de choses arrive réellement dans la pratique – vécu personnellement, même si pas dans le cadre de la location).

Expérience personnelle en direct.
6 mois après la remise sont autorisés.
Chez nous, une régularisation des charges était encore en attente lorsque la lettre est arrivée, les 6 mois après la remise étaient écoulés.
Ensuite, deux relances formelles avec paiement des montants dus.
Puis une ordonnance de paiement en ligne (36€) a été demandée, deux jours après la réception, la retenue de la caution et le solde des charges ont été versés sur le compte.

De nouveau, un montant de 7x€ a été versé au tribunal d’instance, car un autre montant + 36€ de frais de rappel sont encore dus, que je ne donnerai pas à ce bureau (gestion).

La suite de la procédure (audition tribunal / rendez-vous, etc.) est encore en suspens.

Chez nous, l'appartement a été réceptionné sans défaut, nous n'avons rien entendu pendant 3 mois. Nous avons ensuite demandé des nouvelles concernant le remboursement de la caution. Nous avons été invités à un entretien, au cours duquel une liste a été présentée, indiquant tout ce qui serait soi-disant cassé et en mauvais état.
Nous sommes partis sans caution, nous nous sommes assis à la maison et avons consulté les articles de loi. Ma belle-sœur est heureusement avocate et a tout examiné. La lettre a été envoyée par courrier recommandé à l'ancien propriétaire - après quelques échanges, l'argent a été crédité sur notre compte.
Je ne peux que recommander : tout vérifier très précisément, tout consigner par écrit - et, en cas de besoin, obtenir une assistance juridique. Après cette épreuve, qui nous a vraiment coûté beaucoup de nerfs, nous avons d'abord souscrit une assurance protection juridique.