roookeee
19.09.2023 19:40:00
- #1
Salut à tous,
nous sommes en train de planifier notre plan d’étage et nous sommes tombés sur la quantité de fenêtres nécessaires selon que l’on :
Bien sûr, nous sommes conscients que le calcul en lux est bien plus compliqué que cette règle empirique, mais nous voulons déjà intégrer dans le calcul des coûts une quantité raisonnable de fenêtres pour ne pas être pris de court plus tard si nous devons installer pour 10-15 000 € de fenêtres en plus.
Nous nous demandons donc maintenant comment, dans un demi-étage par exemple, une pièce de 20 m² pourrait atteindre ne serait-ce qu’approximativement 20 %. Même avec deux fenêtres Velux ayant une surface vitrée effective de 1,16 m² et une fenêtre double de 160x140 (estimée alors à 100x110 de surface vitrée effective après soustraction des cadres, etc.), nous n’atteignons que 17,3 % !
Il en va de même, par exemple, dans la cuisine fermée en bas, où nous ne dépasserions même pas les 10 % avec 2 fenêtres de 120x100 (estimées alors à 90x70 de surface vitrée effective après soustraction des cadres, etc.) – j’ai comme l’impression que nous ne comprenons pas encore quelque chose correctement.
Voici donc la question : quelle surface vitrée (en règle empirique) devrait-on réellement avoir, où est le point idéal pour ne pas devoir installer 2 fenêtres du sol au plafond et 10 fenêtres Velux dans chaque pièce. Comme dit, nous essayons juste de comprendre si 20 %-25 % est vraiment une règle empirique réaliste à viser ou si ce n’est peut-être que beaucoup de marketing, d’autant plus que Velux en parle beaucoup sur ses sites web. Nous ne voulons pas construire un bâtiment ancien sur le plan de la lumière et toucher les fenêtres après coup semble aussi très laborieux.
Merci à vous !
nous sommes en train de planifier notre plan d’étage et nous sommes tombés sur la quantité de fenêtres nécessaires selon que l’on :
[*]se base sur le code de la construction régional – selon Internet, il faudrait alors apparemment que 10-12 % de la surface au sol soient des surfaces vitrées
[*]se base sur des recommandations plus récentes comme par exemple la DIN EN 17037, qui propose une règle empirique de 20-25 %
Bien sûr, nous sommes conscients que le calcul en lux est bien plus compliqué que cette règle empirique, mais nous voulons déjà intégrer dans le calcul des coûts une quantité raisonnable de fenêtres pour ne pas être pris de court plus tard si nous devons installer pour 10-15 000 € de fenêtres en plus.
Nous nous demandons donc maintenant comment, dans un demi-étage par exemple, une pièce de 20 m² pourrait atteindre ne serait-ce qu’approximativement 20 %. Même avec deux fenêtres Velux ayant une surface vitrée effective de 1,16 m² et une fenêtre double de 160x140 (estimée alors à 100x110 de surface vitrée effective après soustraction des cadres, etc.), nous n’atteignons que 17,3 % !
Il en va de même, par exemple, dans la cuisine fermée en bas, où nous ne dépasserions même pas les 10 % avec 2 fenêtres de 120x100 (estimées alors à 90x70 de surface vitrée effective après soustraction des cadres, etc.) – j’ai comme l’impression que nous ne comprenons pas encore quelque chose correctement.
Voici donc la question : quelle surface vitrée (en règle empirique) devrait-on réellement avoir, où est le point idéal pour ne pas devoir installer 2 fenêtres du sol au plafond et 10 fenêtres Velux dans chaque pièce. Comme dit, nous essayons juste de comprendre si 20 %-25 % est vraiment une règle empirique réaliste à viser ou si ce n’est peut-être que beaucoup de marketing, d’autant plus que Velux en parle beaucoup sur ses sites web. Nous ne voulons pas construire un bâtiment ancien sur le plan de la lumière et toucher les fenêtres après coup semble aussi très laborieux.
Merci à vous !