11ant
25.07.2023 18:08:46
- #1
Lis-toi ici sur le forum à ce sujet. @11ant ajoutera sûrement son grain de sel ;-)
Je ne suis pas sûr pour l’instant si le TE a éventuellement déjà lu mon planning de construction de maison (mais seulement partiellement compris, ou bien a mal interprété la remarque disant qu’on peut également procéder différemment) :
Notre idée pour le déroulement :
- Financer le terrain séparément (taux fixe ou crédit variable), nous devons encore obtenir des offres de financement.
- Faire réaliser le bornage du terrain et une étude de sol sur place
- Mandater un architecte pour les phases de prestation 1-2 afin d’établir une esquisse préliminaire
- Avec les résultats de l’esquisse préliminaire, du bornage du terrain et de l’étude de sol, obtenir des offres auprès d’entreprises de construction de maisons et parallèlement interroger un entrepreneur de travaux de terrassement pour un devis (excavation, décharge, etc.) afin de pouvoir planifier. (Je suis conscient que les coûts annexes de construction sont plus nombreux, mais ici je vois la plus grosse part des coûts que je souhaite intégrer au mieux dès cette étape)
- Après confirmation que nous sommes fondamentalement éligibles à une aide, nous déciderons (après avoir comparé parallèlement les offres) pour une entreprise de construction
- Traiter parallèlement le reste du financement.
[...] Trouvez-vous généralement cette approche pertinente ?
Je lis d’une part avec satisfaction que quelqu’un veut commander le « module A » et lancer avec son résultat un appel d’offres indicatif (et de plus toutes options de construction ouvertes !) Cela semble sensé. Moins sensé me paraît de laisser le module A avec l’architecte clarifier « roche ou marais » a posteriori plutôt qu’a priori. Et il me manque l’étape de la suite de la planification, car la phase de prestation 3 est en tout cas recommandée avec (le même ?) architecte. Et je n’ai pas encore vu clair sur ce qui pourrait encore remettre en question l’éligibilité à l’aide si les maîtres d’ouvrage eux-mêmes sont positivement reconnus aptes (?)
Juste quelques questions :
1. Pourquoi veux-tu faire à nouveau faire le bornage du terrain ?
2. Pourquoi phases 1+2 chez l’architecte, puis vers l’entreprise de construction ?
3. Que comprends-tu par « entreprise de construction » ?
4. Pourquoi un entrepreneur de travaux de terrassement si tu passes par une « entreprise de construction » ?
5. Comment comptez-vous comparer objectivement les offres des « entreprises de construction » ? Il n’y a personne dans votre planification qui fait un appel d’offres.
5. Nous voulons nous adresser aux fournisseurs de maisons avec le plan préliminaire élaboré en phases 1+2 et leur faire faire des offres exactement sur ces plans.
Je ne sais pas si j’ai une erreur de raisonnement,
Si je comprends bien, la commune n’a pour l’instant réparti les lots que « mentalement », sans que les parcelles aient encore été bornées. Pour la question de savoir si les lots de terrassement et gros œuvre doivent être attribués séparément, je ne devancerais pas l’architecte. Le résultat de l’esquisse préliminaire ne convient en principe PAS à une demande d’offre concrète, mais uniquement pour une évaluation approximative pour savoir si le projet de construction concret sera nettement plus avantageux ou moins cher en bois ou en maçonnerie. Ce résultat ne conduit pas toujours à une décision – ni pour bois ou maçonnerie, ni pour cet entrepreneur général ou décision d’attribution seulement après appel d’offres.
À l’extrême (entrepreneur général et bois), l’architecte ne fait plus que la phase 3 après la phase de repos de la pâte, et l’entrepreneur général reprend. À l’autre extrême (maçonnerie et décision d’attribution après appel d’offres), l’architecte réalise le module complet « B » (puis aussi C).
Notre souhait est de construire une maison unifamiliale d’environ 130-140 m² de surface habitable.
Cela semble raisonnable ...
Nous voulons commencer la construction dans 1-2 ans [...]
tous deux (31 ans), actifs professionnellement, la femme en congé parental (encore max. 2 ans), ensuite à temps partiel. Nous avons 2 enfants (2 ans et 1 mois).
... par contre cela l’est moins. Je suppose que l’écoulement du congé parental est la raison de l’attente, et aussi le facteur déterminant pour le financement – dans ce sens, l’attente est relativement compréhensible. Absolument prise en compte, attendre n’est toutefois pas une stratégie judicieuse. Quelle serait la conséquence de construire avec les revenus pendant le congé parental et/ou sans prendre en compte la subvention : trente mètres carrés de moins ? – ou même un temps seulement des places de stationnement goudronnées au lieu d’un garage double ?
Je ne retarderais pas la construction pour des compromis raisonnables, l’emménagement n’aura lieu que lorsque le K1 pourra déjà marcher et que le K2 sera propre. Après scolyte, corona et Poutine, de nouvelles difficultés apparaîtront, qui feront voler en éclats l’espoir d’une construction moins chère. Ma devise « construire maintenant » ne vient pas de nulle part.