J'apprécie beaucoup tes contributions, mais c'est quand même assez déconcertant.
Je suis désolé si tu as mal interprété l'utilisation symbolique de la chanson populaire "ich sachma". J'ai utilisé cette allusion parce que j'espère que chacun (et donc aussi l'auteur du post) aura la chanson "en tête", et que "la pièce tombera" : à savoir considérer le phénomène selon lequel, dans chaque couplet de la chanson sur le projet de construction, un compagnon se désistera pour une autre raison : l'un ne voulait que le terrain devant à gauche et aucun autre, le suivant pas le terrain au bout en cul-de-sac, le troisième déteste le service du roulant pour les poubelles jusqu'au coin de la rue publique, et ainsi de suite. Les avatars de ces incertains tenants du canton dans la chanson sont purement symboliques "petits nègres", et jamais littéralement et sérieusement "comme on dirait aujourd'hui, des mineurs de couleur (m/f/d)". D'ailleurs je l'ai choisi en tant que mammele yiddish et certainement pas en bleu ;-)
À mon avis, le bureau d'urbanisme exigera, vu la taille du terrain, un nouveau plan partiel d'aménagement. Qui passera ensuite par toutes les instances.
Je ne pense pas. D'après ce que j'ai compris de l'auteur du post, le terrain se trouve dans une zone déjà planifiée et subira seulement un changement d'affectation, mais sera soumis aux critères de construction des parcelles environnantes - malheureusement passés sous silence par l'auteur du post. On n'ouvrirait cette boîte d'une section spéciale que si les besoins avaient beaucoup changé depuis la dernière version du plan d'aménagement, par exemple si tant d'intéressés pour des maisons jumelées faisaient la queue qu'on ne voudrait plus de maisons individuelles isolées dans cette zone. Nous parlons ici de trois mille mètres carrés moins les espaces routiers, donc selon Monsieur Kopper, des cacahuètes ;-)