Je ne trouve pas juste que vous essayiez de soutirer toutes sortes de données personnelles au créateur du fil de discussion ici.
À la place, vous pourriez dire que vous avez des inquiétudes concernant les coûts et si une marge de sécurité, etc. est incluse, ou gentiment demander si la personne souhaite partager d’autres informations, mais pas sur un ton aussi exigeant.
Je ne trouve pas bien de faire une sorte d'émission à la Peter Zwegat de ça.
Cela n’a pourtant rien à voir avec Zwegat. Mais les informations sont tellement vagues, voire dix fois plus ambiguës, qu’on ne peut que faire de la lecture de marc de café. Personne n’a non plus demandé de poster des données personnelles ou de télécharger des justificatifs.
Mais jusqu’à présent, c’est le silence ; c’est pourquoi personne n’a répondu à la question principale.
Peut-être que c’est pour cela que tout le monde pose des questions si peu crédibles ici, mais des dépenses de 3200 € c’est quand même beaucoup !
C’est vraiment une accusation étrange. Qui ici pose des questions non crédibles ?
De plus, je ne peux que recommander vivement de choisir un partenaire de financement extrêmement sérieux. Pour moi, ce sont ceux qui ont des agences locales et non ceux qui ont tout juste les meilleures conditions sur Internet.
Il y a aussi des courtiers, mais je ne m’y connais pas bien, moi c’est plutôt classique. En tout cas, il faut s’informer à l’avance.
Le financement immobilier est un produit assez fortement réglementé en Allemagne (depuis WIKR encore plus), et désormais aussi assez « standardisé », car la marge pour les banques a beaucoup été mise sous pression ces dernières années.
Comment définis-tu un partenaire « sérieux » ?
Il faut absolument aller voir plusieurs « partenaires » (au moins la banque principale, et au moins un des grands intermédiaires), pour pouvoir évaluer les offres et les partenaires respectifs, mais aussi développer un certain ressenti concernant les avantages et les inconvénients.
Les courtiers à la commission ont l’avantage de pouvoir trouver des partenaires adaptés, en particulier quand, par exemple, on ne dispose pas de 20 % ou 40 % de fonds propres. Mais on ne sait pas. C’est pourquoi, dans ce cas, il ne faut pas lire dans le marc de café.
Si l’on parle seulement avec les banques locales (et dans certaines villes il n’y en a qu’une ou deux), on se limite beaucoup, car ces banques sont liées à leurs propres produits et constructions respectifs. (Par exemple, les Sparkassen ne peuvent souvent pas accorder de prêt amortissable classique sur plus de 15 ans ; au-delà, uniquement avec des constructions basées sur des contrats d’épargne-logement)