Häuslebauer40
09.01.2012 16:45:03
- #1
Un prêt in fine, rien d'autre que le crédit que tu as décrit, est plutôt inhabituel dans le domaine privé, parce que
a) il est généralement plus cher qu’un prêt amortissable (crédit normal avec intérêts et remboursement)
b) souvent, il y a un trou à la fin. Pour faire paraître un prêt in fine avantageux, ou bien pour bien calculer, on calcule souvent avec des excédents exagérés de la [LV] ou du fonds, qui doit être ton remboursement. À un moment donné, après quelques années, tu reçois une lettre t’informant que les excédents supposés ne seront probablement pas atteints et que tu dois combler ton manque de financement en souscrivant une autre [LV].
Un prêt in fine n’a donc de sens que si le remboursement est assuré par la somme garantie à l’échéance d’une [LV] (liée à un fonds). Tout ce qui est excédent et qui reste est agréable, mais ne devrait pas être utilisé pour le calcul du prêt.
Si on procède ainsi, cela revient généralement beaucoup plus cher qu’un prêt normal, que l’on sécurise contre le décès avec une simple [LV] à risque.
a) il est généralement plus cher qu’un prêt amortissable (crédit normal avec intérêts et remboursement)
b) souvent, il y a un trou à la fin. Pour faire paraître un prêt in fine avantageux, ou bien pour bien calculer, on calcule souvent avec des excédents exagérés de la [LV] ou du fonds, qui doit être ton remboursement. À un moment donné, après quelques années, tu reçois une lettre t’informant que les excédents supposés ne seront probablement pas atteints et que tu dois combler ton manque de financement en souscrivant une autre [LV].
Un prêt in fine n’a donc de sens que si le remboursement est assuré par la somme garantie à l’échéance d’une [LV] (liée à un fonds). Tout ce qui est excédent et qui reste est agréable, mais ne devrait pas être utilisé pour le calcul du prêt.
Si on procède ainsi, cela revient généralement beaucoup plus cher qu’un prêt normal, que l’on sécurise contre le décès avec une simple [LV] à risque.