WilderSueden
12.12.2020 18:24:52
- #1
Les travaux de terrassement ne peuvent pas être complètement exclus. Même sur un terrain parfait, il y a toujours un peu à creuser. Et si le terrain a une pente, si le sol est peu porteur ou sensible au gel, alors il faut aussi prévoir un peu plus d'argent pour les terrassements, même avec une dalle de fondation.
Il en va de même pour le sous-sol. Si tu y renonces, tu as besoin à la place d’une dalle de fondation. Parfois, elles sont déjà incluses dans les offres, mais souvent les prix pour une maison sont annoncés à partir du niveau supérieur du sous-sol/de la dalle, c’est-à-dire que cela revient en supplément.
Et la question de choisir entre un sous-sol ou une dalle de fondation ne peut être répondue que pour un terrain concret. Il y a quelques points contre une dalle, par exemple un terrain en pente ou un sol peu porteur. Bien sûr, on peut remblayer une pente ou mettre 3 mètres de gravier sous la dalle en cas de sol pauvre, mais alors ton calcul ne sera plus du tout juste et tu auras une victoire à la Pyrrhus classique.
Inversement, il y a des facteurs qui s’opposent clairement à un sous-sol ou le rendent nettement plus cher : des couches aquifères, un sol contaminé (cela peut aussi être un problème dans une campagne idyllique, par exemple de l’arsenic géogène). Cela fait fortement augmenter les coûts du sous-sol. En résumé, sans terrain concret, tu ne peux pas planifier quelque chose de fiable. Sans terrain, il devrait y avoir deux plans sommaires, un plan préféré et un plan alternatif si sous-sol ou dalle ne conviennent pas.
Il en va de même pour le sous-sol. Si tu y renonces, tu as besoin à la place d’une dalle de fondation. Parfois, elles sont déjà incluses dans les offres, mais souvent les prix pour une maison sont annoncés à partir du niveau supérieur du sous-sol/de la dalle, c’est-à-dire que cela revient en supplément.
Et la question de choisir entre un sous-sol ou une dalle de fondation ne peut être répondue que pour un terrain concret. Il y a quelques points contre une dalle, par exemple un terrain en pente ou un sol peu porteur. Bien sûr, on peut remblayer une pente ou mettre 3 mètres de gravier sous la dalle en cas de sol pauvre, mais alors ton calcul ne sera plus du tout juste et tu auras une victoire à la Pyrrhus classique.
Inversement, il y a des facteurs qui s’opposent clairement à un sous-sol ou le rendent nettement plus cher : des couches aquifères, un sol contaminé (cela peut aussi être un problème dans une campagne idyllique, par exemple de l’arsenic géogène). Cela fait fortement augmenter les coûts du sous-sol. En résumé, sans terrain concret, tu ne peux pas planifier quelque chose de fiable. Sans terrain, il devrait y avoir deux plans sommaires, un plan préféré et un plan alternatif si sous-sol ou dalle ne conviennent pas.