D'après l’image, il y avait donc d’autres bâtiments, mur contre mur.
Si ce sont des raidisseurs, cela pourrait signifier que le mur ne tiendrait plus sans eux.
Oui, tu avais raison à propos des raidisseurs. Ils doivent sûrement rester.
Mais je ne considère pas cela comme un problème majeur. Si le mur est de toute façon couvert, on ne le verra plus.
Qu’est-il advenu de l’autre terrain que vous aviez en vue ?
Personnellement, je ne peux pas vraiment embellir ces murs avec du lierre ou des arbres fruitiers en espalier :-(
Cependant, la plupart des terrains abordables ont plus ou moins des inconvénients, je connais ça très bien.
Je investirais dans du crépi si la voisine est d’accord, et en plus je végétaliserais.
L’autre terrain n’est pas encore hors course. Tout traîne à cause des circonstances personnelles du propriétaire.
Il y a aussi 2-3 inconvénients qui nous obligent à de grandes restrictions à cause du plan d’urbanisme.
Oui, ce n’est vraiment pas très joli dans l’état actuel.
Mais une fois bien végétalisé, ce sera beau. Le terrain lui-même est de bonne taille. Il y a 8 mètres de distance entre le mur élevé et la maison. Derrière, il y a plusieurs dizaines de mètres jusqu’aux bâtiments plus bas. Ceux-ci ne gênent alors plus du tout.
Un autre avantage : derrière les bâtiments bas commence une réserve naturelle avec des pâturages pour chevaux. À l’étage supérieur, on a donc une superbe vue.
Si on a la chance dans ce coin de trouver une lacune constructible vendue à un prix acceptable (je n’emploie pas volontairement le mot bon marché), on a des voisins de tous côtés. Avec une belle vue, ce n’est de toute façon pas possible.
Comme je l’ai dit : Le mur élevé sera plus tard éloigné de 8 mètres du pignon de la maison. Normalement, après 6 mètres, on a déjà le voisin. Ceci dit, généralement les voisins ont un toit à deux pans et des bâtiments moins imposants. Mais aussi des fenêtres avec des regards curieux.
Bien sûr... si on pouvait se confectionner un terrain, on choisirait un des terrains voisins avec une vue directe sur la réserve naturelle. Mais là, on a au moins 10 ans de retard. Et pendant ce temps, les prix du marché ont triplé.
(J’ai déjà mentionné que je ne peux plus entendre la phrase « oh, vous avez en ce moment des taux d’intérêt si bas. Il faut en profiter » ?)