GarMir23
26.03.2023 14:24:40
- #1
Merci beaucoup pour les remarques détaillées !
Nous en sommes fondamentalement conscients. Il est prévu d'isoler à nouveau le toit (malheureusement, cela doit être fait de l’extérieur et la couverture sera alors également refaite) et éventuellement la dalle du sous-sol. La maison a, selon le certificat énergétique, une consommation finale d'énergie de 79,4 kWh/(m²*a), ce qui correspond à la classe C avec une tendance vers B. Il y a quelques années, les fenêtres et portes ont été remplacées par des vitrages triples. Donc, ce n’est pas si mal isolé, n’est-ce pas ?
La photo montre la jonction du plancher intermédiaire (rez-de-chaussée/étage) avec le mur extérieur (côté est). Ai-je bien compris que cela est effectivement dû au vent qui souffle de l’extérieur à travers le mur extérieur et la jonction du mur ? Ou s’agit-il plutôt d’air qui circule entre les étages ? Dans la pièce où la photo a été prise, les occupants ont d’ailleurs utilisé une cheminée en bois. Peut-être s'agit-il aussi de suie ?
Nous envisageons effectivement de faire examiner la structure du bâtiment au préalable. Un rapport complet est pourtant très coûteux, n’est-ce pas ? Quelles options avons-nous ?
Les plans d’étage existent et pour le sous-sol il y a au moins des descriptions détaillées sur les matériaux de construction.
L’entreprise qui a construit la maison existe encore aujourd’hui. J’ai déjà pris contact avec leurs conseillers en énergie. Peut-être demanderai-je encore une fois au sujet du phénomène montré sur la photo. Que devrais-je précisément demander concernant la construction ?
Le problème potentiel de contamination par des substances nocives est pris en compte. Selon le fabricant, la plupart des substances nocives ont normalement déjà été évaporées dans leurs maisons de cette époque, de sorte que la pollution de l’air intérieur devrait être inférieure aux limites recommandées. Mais nous avons une garantie de l’agent immobilier que l’air intérieur sera également testé avant l’achat.
De plus, deux façades de la maison sont encore recouvertes de plaques en ardoise synthétique, qui selon le fabricant sont les seuls composants contenant de l’amiante. Comme elles sont sur un mur extérieur et sont intactes à ce jour, je ne pense pas que cela représente un problème majeur.
Encore merci beaucoup pour l’aide ici. Un mauvais achat d’une telle ampleur serait effectivement fatal.
Les maisons préfabriquées des années 70 sont en général de conception très simple et de qualité de construction modeste. L’isolation des éléments extérieurs (toit/plafond du dernier étage/plancher/murs extérieurs) sera minimale et ne répondra guère aux exigences actuelles. La construction très simple se manifestera également au niveau des jonctions des composants, qui ne seront pas étanches au vent. Les stries visibles au plafond sont - comme supposé - la conséquence de telles fuites, par lesquelles de la poussière est soufflée.
Nous en sommes fondamentalement conscients. Il est prévu d'isoler à nouveau le toit (malheureusement, cela doit être fait de l’extérieur et la couverture sera alors également refaite) et éventuellement la dalle du sous-sol. La maison a, selon le certificat énergétique, une consommation finale d'énergie de 79,4 kWh/(m²*a), ce qui correspond à la classe C avec une tendance vers B. Il y a quelques années, les fenêtres et portes ont été remplacées par des vitrages triples. Donc, ce n’est pas si mal isolé, n’est-ce pas ?
La photo montre la jonction du plancher intermédiaire (rez-de-chaussée/étage) avec le mur extérieur (côté est). Ai-je bien compris que cela est effectivement dû au vent qui souffle de l’extérieur à travers le mur extérieur et la jonction du mur ? Ou s’agit-il plutôt d’air qui circule entre les étages ? Dans la pièce où la photo a été prise, les occupants ont d’ailleurs utilisé une cheminée en bois. Peut-être s'agit-il aussi de suie ?
Vous ne devriez prendre votre décision d’achat qu’après une inspection préalable par un architecte expert et en aucun cas vous fier aux informations fournies par l’agent immobilier ou le propriétaire. S’il n’existe plus de données vérifiables concernant la construction, ce rendez-vous sur place pourra au moins permettre d’estimer suffisamment bien la qualité fondamentale du bien immobilier. Le coût des travaux de rénovation/modernisation pourra ainsi être mieux évalué pour vous. Les maisons préfabriquées de cette époque peuvent encore être contaminées aujourd'hui par des substances nocives qui sont émises dans l’air intérieur. Cela peut également être vérifié avant l’achat par une analyse de l’air intérieur, de la poussière ou des matériaux.
Nous envisageons effectivement de faire examiner la structure du bâtiment au préalable. Un rapport complet est pourtant très coûteux, n’est-ce pas ? Quelles options avons-nous ?
Les plans d’étage existent et pour le sous-sol il y a au moins des descriptions détaillées sur les matériaux de construction.
L’entreprise qui a construit la maison existe encore aujourd’hui. J’ai déjà pris contact avec leurs conseillers en énergie. Peut-être demanderai-je encore une fois au sujet du phénomène montré sur la photo. Que devrais-je précisément demander concernant la construction ?
Le problème potentiel de contamination par des substances nocives est pris en compte. Selon le fabricant, la plupart des substances nocives ont normalement déjà été évaporées dans leurs maisons de cette époque, de sorte que la pollution de l’air intérieur devrait être inférieure aux limites recommandées. Mais nous avons une garantie de l’agent immobilier que l’air intérieur sera également testé avant l’achat.
De plus, deux façades de la maison sont encore recouvertes de plaques en ardoise synthétique, qui selon le fabricant sont les seuls composants contenant de l’amiante. Comme elles sont sur un mur extérieur et sont intactes à ce jour, je ne pense pas que cela représente un problème majeur.
Encore merci beaucoup pour l’aide ici. Un mauvais achat d’une telle ampleur serait effectivement fatal.