Le rapport s'améliore, mais tu as bien sûr beaucoup plus de surface ! Celle-ci augmente naturellement plus vite que le rapport ne s'améliore, sinon à partir d'une certaine taille on ne pourrait plus perdre d'énergie du tout.
V ~ r³, A ~ r². V/A croît plus vite que A. Les pertes de chaleur par rapport au contenu deviennent infiniment petites avec un réservoir de taille infinie (c'est la limite théorique).
Les pertes absolues augmentent avec la taille.
Oui, c'est vrai, mais attention, selon moi, ce qui est intéressant ce sont les pertes par rapport à la chaleur stockée. Le terme source du bilan (la chaleur électrique fournie par la pompe à chaleur, qui devrait être indépendante du rapport surface-volume) est selon moi sans importance.
Contexte : je tente de l’expliquer textuellement :
dQ/dT = k.A.dT, où
dQ/dt = cp.rho.V.dT/dt ; après intégration on obtient (
Tfin -
Tinit)/(
Textérieur -
Tinit) = exp(
-k.A.t / rho.cp.V). Cela signifie que le temps
t, après lequel le contenu a adopté la température ambiante, dépend de V/A. Et V/A devient plus grand à mesure que le réservoir grandit.
Je relève le fonctionnement de la pompe à chaleur sur un Rasp.pi
Ta pompe à chaleur a une interface adaptée ou faut-il bricoler pour cela ? Existe-t-il ce genre de chose aussi pour les ingénieurs (donc sous Excel) ?